vendredi 27 septembre 2013

100 Vues sur l'automne -13-

-13-
"oooooaaaaah"

Comme les enfants, vraiment?

Il m'est arrivée quelques fois dernièrement de tomber sur des articles concernant le bonheur. Où inévitablement, on parlait de "vivre le moment présent". Chaque fois, on cite les enfants, qui eux vivraient dans le moment présent de façon enviable.
 
Sérieux??!!
 
Les personnes qui ont écrit ça, n'ont sûrement pas d'enfants...
 
Qui a des enfants sait parfaitement que:
 
- Le problème le plus important de la planète en juillet, c'est le costume qu'ils  porteront le 31 octobre.
 
- On est pas encore arrivé à la nouvelle année qu'ils ont commencé à planifier leurs cadeaux pour le Noël suivant.
 
- À peine peuvent-ils ajouter le "et demi" quand on leur demande leur âge, qu'ils parlent au moins une fois par heure du gâteau de fête qu'ils espèrent.
 
- Vous savez exactement, en tout temps, et ce chaque jour, combien il reste de dodos avant le prochain cours de danse, le prochain entraînement de patin et la prochaine journée de congé.
 
- On entend au moins quinze fois par jour "quand je vais être grande, moi aussi je..."
 
- On se fait dire régulièrement "la prochaine fois qu'on va aller en voyage, on va..."
 
- La saison des compétitions n'est pas encore commencée qu'ils nous sonnent régulièrement dans les oreilles à quel point ils ont hâte au festival de fin de saison.
 
- À chaque fois qu'un des gars part pour une pratique de soccer, il y a une Poulette pour vous rappelez que "Moi aussi l'été prochain je vais pouvoir jouer au soccer parce que je vais être assez vieille".
 
 
J'imagine que vous avez compris où je veux en venir. En fait, vous l'avez sûrement déjà vécu vous-même. Vivre dans le moment présent, je suis absolument vendue à l'idée. Le bonheur c'est maintenant. On peut le planifier, s'assurer que notre chemin en sera parsemé mais si on ne fait que planifier et qu'on en oublie de regarder autour, on ne le touchera jamais. Par contre, vivre dans le présent comme le font si bien les enfants? Faites moi rire! Certes la plupart des enfants touchent facilement au bonheur, mais qu'ils vivent dans le moment présent? Ha! Ha! Ha! N'importe quoi, comme dirait Zach.



jeudi 26 septembre 2013

100 Vues sur l'automne -12-


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Grimper

Jeudi confession; fantasme de mère

Je vous fait une petite confession vite vite parce que la journée a passé à la vitesse de l'éclair et que j'ai une réunion ce soir, donc aucune chance de prendre un peu de temps pour écrire! J'aurai sûrement un confession plus croustillante la semaine prochaine.
 
Depuis le début des classes, mes enfants sont des ogres sans nom. Non seulement ils mangent tous la part de trois  aux repas, mais ils passent leurs vies dans le frigo. Je capote un brin. J'achète et/ou prépare des collations de façon à en avoir amplement pour une semaine. Deux jours plus tard...il ne reste plus rien. C'est sans fin. Je passe ma vie à leur demander de sortir du frigo ou du garde-manger. Tellement, qu'un fantasme à doucement pris place dans nos têtes de parents de meute.
 
À moyen terme, on aimerait bien agrandir la maison. C'est là l'objet de nombreuses discussions entre l'homme et moi, comment on voit/veut notre maison de rêve. Et là, dans notre maison de rêve, on a  ajouter un élément, directement en lien avec le fantasme naissant dont je vous ai parlé plus haut. Dans ma cuisine de rêve, clairement, le frigo et le garde-manger ne s'ouvriront qu'à l'aide d'un lecteur d'empreintes digitales. Si jamais il me manque un doigt, on aura une idée pourquoi!
 
Et j'en ai des tonnes des fantasmes du genre à confesser...

samedi 21 septembre 2013

100 Vues sur l'automne -7-

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Miam

100 Vues sur l'automne -6-

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Entrainement

Paroles d'enfants [8]

Je cuisine pendant que les enfants sont à la table en train de dessiner.
 
"Zach, tu irais dans la salle de lavage, me chercher la pile de linges à vaisselle sur la tablette?"
 
S'en ai suivi un échange étonnamment calme et courtois.
 
Zach: "Hum...Poulette, vas-y toi. Je veux finir mon dessin."
Poulette: "Éliott tu peux y aller? Zach et Moi on est occupés et Lionne est trop petite pour monter la pile dans les escaliers."
Éliott: "Zach, c'est à toi que Maman a demandé."
Zach: "Bon, Maman, je crois que tu serais mieux d'y aller toi-même parce que le temps qu'on s'entende tu risques d'être tannée et d'attendre trop longtemps".
 
Fait que finalement, j'y suis allée moi-même..

vendredi 20 septembre 2013

Le bonheur c'est plein d'affaires...dont un tirage!

Le bonheur c'est plein d'affaires. Si vous êtes familier avec Twitter ou Instagram, cette phrase vous est probablement elle aussi familière. Vous l'avez sûrement lue ou/et utilisée à plusieurs reprises. Moi, c'est mon cas. Parce que le bonheur, je pense qu'on a avantage à le trouver dans les petits moments de la vie, des moments Youppi. Savoir tirer plein de petits bonheurs de nos grands bonheurs. Bref, le bonheur; c'est plein d'affaires!
 
Un de mes moments Youppi.
Les petits bonheurs, c'est des moments tirés à gauche et à droite. C'est voir mes deux gars partir vers l'arrêt d'autobus main dans la main.  C'est la Lionne qui va à la porte attendre ses frères qui reviennent de l'école. C'est voir mes enfants s'épanouir sur une glace ou un terrain de soccer. C'est jaser avec l'homme en prenant une bière relaxe pendant que la meute nous tourne autour. C'est un bon souper entre amis. C'est un petit mot qui rappelle un bon souvenir d'une copine qui nous manque, c'est une sortie de course sous la pluie, c'est des flocons de neige, c'est un "merci", un "félicitations". Le bonheur, c'est pas grand chose et énorme en même temps. Il faut arrêter de le chercher et ouvrir les yeux, il est partout. Il faut simplement le saisir. Le bonheur, c'est l'accumulation de "moments Youppi".
 
Un petit bonheur, c'est aussi des enfants qui dorment tôt après une journée un peu trop agitée. Cet instant de silence longuement espéré certaines journées. C'est le seul moment de la journée où tu peux espérer prendre une collation et la manger toi-même! On fait tous ça attendre que les enfants dorment pour sortir la tablette de chocolat de l'armoire ou la crème glacée du frigo, hein? Si vous le faites pas, vous manquez quelque chose, je vous le dis!
 
Avant, il y avait les yogourts des enfants et les miens dans le frigo. Et généralement, les miens, c'est des yogourts grecs. J'adore ça. Vraiment. Ça vaut pratiquement un morceau de chocolat noir pour moi. Malheureusement, les enfants ont découvert que le yogourt à maman est aussi pas mal bon, je dois les cacher dans le frigo pour réussir à en prendre quelques cuillères tranquille! J'essaie à peu près tout ce qui sort comme yogourt grec. Et en essayer un nouveau, ça va dans la catégorie "Le bonheur c'est plein d'affaires!"
 
Et justement, Yoplait a un nouveau yogourt grec à nous faire découvrir; le yogourt Yopa!, un yogourt sans gélatine, ni saveur et colorant artificiel, sans matière grasse et seulement 80 calories par portion. Disponible en cinq saveurs: tango à la mangue, piña colada en folie, saveur de gâteau au fromage et fraises divines, gousse de vanille exquise et délices de petits fruits. J'avoue, j'ai une attirance particulière pour la saveur de gâteau au fromage.
 
Vous avez envie de goûter vous aussi? En écrivant un de vos moments Youppi, un moment qui va dans le classeur "Le bonheur c'est plein d'affaires", en commentaire sur le blogue directement vous courez la chance de gagner un emballage-cadeau YOPA! d’une valeur de 100 $ ! Vous avez jusqu'au 20 octobre à 23h59 pour inscrire votre commentaire. Le tirage sera effectuer le 21octobre 2013 et le gagnant sera dévoilé au cours de cette même journée dans un billet, ici-même sur le blogue. Seuls les résidents canadiens peuvent participer. Vous pouvez vous inscrire sur plusieurs blogues mais vous pouvez gagner qu’un seul prix. Participez en grand nombre!
 
Alors, votre moment Youppi à vous aujourd'hui (ou hier) c'est quoi?
 
 
« Divulgation : Je participe à la campagne des blogueuses YOPA organisée par Mom Central Canada pour le compte de General Mills et j’en retire des avantages en échange de ma contribution et de l’expression franche de ma pensée. Les opinions émises sur ce blogue sont les miennes. »
 
 

jeudi 19 septembre 2013

100 Vues sur l'automne -5-

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Grosse semaine, grosse fatigue


les conseils...

On est jeudi. Un genre de "jeudredi." C'était la fête de la rentrée à l'école aujourd'hui, les gars terminaient la journée scolaire à 13h15, demain c'est une pédagogique. Jeudredi donc.
 
Je n'ai pas été beaucoup ici cette semaine. C'était la première semaine d'école à temps plein pour Zach. C'était aussi la première semaine où toutes les activités avaient lieux, première semaine de notre horaire d'automne complet. J'ai aussi besoin d'un temps d'adaptation je pense ;-) Bah non, juste d'une petite semaine pour trouver la façon la plus efficace de faire les choses, ajouter à cela quelques réunions et la fille écrit moins. Mais ca reviendra vite, n'ayez crainte!
 
Je vous fais une petite confession rapide, un peu inspirée du nouveau projet Moi mes enfants. Projet qui se veut un rassemblement de tout ce qu'on peut se jurer qu'on sera ou que nos enfants seront, avant de les avoir et qui s'avère un peu faux...On l'a pas mal toutes fait non? Et oui, disons-le, ça énerve recevoir des "moi, quand je vais avoir des enfants..." Il y a aussi, j'en ai déjà parlé, les gens qui eux savent ce que l'on devrait faire. Ils ont toujours la solution à ton problème, ils n'ont pas d'enfants mais savent ce que tu devrais faire avec les tiens. Généralement, pour tout bon parent, cette catégorie est par moment assez chiante.
 
J'ajoute une troisième catégorie qui, pour moi, est pas mal en haut de la pyramide du chiant.(et aussi parce que je viens de croiser une personne que je case dans cette catégorie) Soit; les gens qui n'ont pas d'enfants et qui te font part de leurs précieux conseils sur la façon d'élever ton(tes) enfants(s) selon leurs expériences avec leurs animaux domestiques. C'est non. Juste non. Je ne suis juste pas capable. J'ai eu plusieurs animaux, j'adore les animaux, j'aurais très certainement un chien si je n'avais pas un membre de meute asthmatique, mais un enfant et un chien ça n'a rien à voir. RIEN. J'insiste.
 
Je vous raconte mon expérience de la journée? À la SAQ avec les deux filles, je croise quelqu'un que je n'ai pas vue depuis l'époque où j'étudiais au CEGEP. On se raconte un peu nos vies,  moi; ma meute et elle; professionnelle carriériste sans enfant. Lionne me lâche la main, elle se promène un peu. Je lui dit :"Tu restes près de moi svp". Bien sur, elle fait un pas de plus et me regard en riant. C'est là que j'ai eu droit à un:" Ha, moi quand mon chien ne veut pas rester aux pieds, je....". Ok, on met ça clair, c'est non, ca passe pas. Juste pas. Chaque fois qu'on compare la façon d'élever un enfant et celle dont un élève un chien, ça m'irrite au plus point. Un animal; c'est un animal. Un humain; un humain. Point.
Voilà, c'est dit.

lundi 16 septembre 2013

dimanche 15 septembre 2013

100 Vues sur L'automne -1-

C'est aujourd'hui que ça repart. Cent vues sur l'automne au travers mes yeux et mes objectifs. Cent prises de mon quotidien.  Et je pars le bal avec ma Lionne qui regarde son père travailler. Bon automne!
 
-1-
Observatrice
 
 

vendredi 13 septembre 2013

Zone sans enfant

Ce matin, en m'affairant dans la maison, j'avais Medium Large en trame de fond. Si vous l'avez écouté vous aussi, vous savez sûrement où je m'en vais. Si non, l'extrait est disponible ici. Ça dure un quinzaine de minutes et on jase du "pour ou contre les zones sans enfant dans les avions et les restaurants". Certains des propos tenus m'ont fait ca-po-ter. Oui, j'ai quatre enfants. Même avant d'avoir des enfants, les enfants ne me dérangeaient pas. Vraiment, le Québec n'est pas "kids friendly". C'est assez pathétique.
 
Je peux vous parler de mes histoires personnelles; comme cette fois dans un resto d'une chaîne de bouffe dites italienne, un vendredi soir 17h30 où c'est à moitié vide, où l'on s'est fait asseoir dans une zone fermée, pour s'assurer que l'on dérange pas. Premièrement, avec notre famille de six, on représentait environ 40% des clients du resto. Deuxièmement, on était dans un resto familial à 17h30. Il y a des limites. Je dirais qu'étrangement, les restos qui ont le moins la clientèle de type famille, dans ma région, sont souvent ceux où on y est le mieux reçu.
 
Je peux aussi vous parler de cette fois où la poulette(même pas deux ans et demi à l'époque) a manqué une marche et s'est ouvert le front juste au dessus de l'œil. Loi de Murphy oblige, c'est toujours dans ce temps là que tu es seule avec La Lionne (d'à peine quelques mois) et ma terreur de trois ans et des poussières, que personne n'est joignable et que l'urgence est bondée. Donc, dans une urgence bondée avec les trois.(Pour ceux qui se posent la question; OUI j'ai fait le tour des cliniques avant d'aller à l'urgence puis NON, il n'y en avait pas de place!). Au bout des deux ou trois heures, Zach s'est mis à pleurer pour retourner à la maison. Il partageait une chaise avec sa sœur qui à la moindre expression faciale avait du sang qui lui coulait au visage, la Lionne dormait sur maman et il n'avait foutrement rien à faire pour lui. Moi je trouvais ça long alors j'imagine lui. Un monsieur, dans la probable soixantaine, chialait dans la rangée derrière moi. Chaque fois que je demandais à un enfant de s'asseoir ou de ne pas toucher au bobo, il soupirait, marmonnait, recevait l'appui de ses voisins... Je m'étais donnée le défi de l'ignorer et de passer mon énergie à gérer mes enfants. Donc, Zach se met à pleurer, c'est là qu'il me dit hurle dessus:"Vous pourriez pas les élever vos enfants? Vous pensez que c'est une place pour traîner sa famille au complet les urgences? Vous pouvez pas les faire taire au moins 15 minutes?" Avant même que j'ai le temps de me retourner, il s'est fait apostropher par une vieille dame d'au moins 80 ans, (finalement, c'était plutôt drôle) qui lui a dit: "du haut de vos 60 ans, vous  n'arrêtez pas de chialer alors demander à un enfant de 3 ans de se taire, c'est un peu gros". Je sais bien que ce n'est un exemple, certains diront une exception mais non. Chaque fois qu'un enfant pleure, crie ou chigne dans les urgences, il y a des gens pour passer des commentaires plates. Probablement toutes les mères pourraient en témoigner.
 
Des exemples du genre, j'en ai plein, plusieurs d'entre-vous aussi, j'en suis convaincue. Outre les gens qui ne sont pas "kid friendly", il y a les organismes qui ne le sont pas. Si on parlait de l'article de Mylène Moisan? C'est un fait, au Québec, quand on a plus de deux enfants, on ne cadre plus. Pas de forfait, pas de place. Restez donc chez vous finalement... Un terrain de camping, ça me semble un lieu assez familial. Des parcs qui appartiennent au gouvernement, que quatre enfants ce soit trop... Désolé, c'est inacceptable. Oui, ils se sont repris mais reste que si vous appelez aujourd'hui, quatre enfants, c'est encore trop...
 
J'ai aussi une copine qui s'est fait engueuler par la personne qui donnait le cours de préparation au baptême parce qu'elle y a apporté son bébé qu'elle allaitait. Semblerait que ce n'était pas l'endroit pour un bébé... Je ne ressens même pas le besoin de commenter davantage.
 
Les enfants, c'est la richesse et l'avenir d'une société. Les enfants font partie intégrante de la société, au même titre que les adultes. On ne peut pas exclure les enfants de lieux publics, ni de la "vie commune". Non, les enfants n'ont pas à être confinés dans le sous-sol familial(ou au McDo). Les enfants, c'est une grande beauté de la vie. En fait, les enfants sont la vie. Je plains ceux qui ne tolèrent pas les enfants, au fond d'eux mêmes, il y a certainement une quelconque étincelle qui est totalement éteinte, une étincelle de bonheur. Le plus triste, c'est qu'il y a aussi des parents qui sont incapables de tolérer les enfants...
 
Pour ma part, les zones sans enfant, c'est juste NON! Je l'ai déjà écrit, le secret pour que des enfants soient sortables, c'est de les sortir. Non, ça se passe pas toujours bien mais ils apprennent. Personnellement, je préfère un enfant de quatre ans qui apprend à vivre qu'un adolescent de quinze ans qui ne sait pas vivre. Parce que de penser que rendu plus vieux, magie(!), ils vont bien se comporter, c'est de l'utopie.
 
Et si le sujet vous intéresse, il y a Maude Goyer qui l'a déjà abordé par ici.
 
Ce serait bien, de faire un peu de place à nos enfants...

jeudi 12 septembre 2013

Jeudi confession; le langage

Cette semaine, je commence directement avec ma confession. Quelques fois, je me demande où mes enfants ont appris à parler!
 
Je sais que dans un cadre professionnel, j'ai un très bon langage, je suis en mesure de m'exprimer très bien. Mais dans mon quotidien, je n'ai pas l'impression de "perler". D'autant plus que si je suis parfaitement capable de bien parler, je suis parfaitement capable aussi d'avoir des expressions que j'essaie d'éviter devant les enfants ou que je souhaite ardemment qu'ils ne retiennent pas.
 
Donc, quand par exemple on roule en auto, les gars s'obstinent et qu'il sort un "T'es vraiment cave!"  et qu'avant même que je n'ai le temps de placer un mot, j'entends en guise de réponse: "Toi Éliott, tu es méprisant", je vous avoue que je reste bouche bée. J'ai peut-être déjà dit d'une remarque qu'elle était méprisante mais que fiston 4 ans à ce moment sorte ça...
 
Ici, les enfants utilisent du ruban adhésif. Jamais ils ne demandent de "tape" ou de papier collant. Je m'interroge sur ce que j'utilise moi-même comme terme mais chaque fois que j'entends "ruban adhésif", ça me surprend un peu.
 
La petite bosse en haut du pied c'est une malléole, pas la cheville. Ils mangent du beurre d'arachides, jamais le mot "pinotte" ne sort de leurs bouches.  Je pourrais vous écrire deux pages d'exemples du genre. Je sais pas, peut-être que je devrais m'enregistrer mais leur langage m'étonne régulièrement...

lundi 9 septembre 2013

One hundred days of summer, la suite. Prise 2

Hier s'est terminé le One hundred days of summer. Les 100 photos résumant ce que j'ai fait (ou plutôt, ce qu'on fait mes enfants) de mon été. Je vous avais parlé que je voulais poursuivre, mais que j'ignorais la forme que j'espérais y donner. Hier soir, il y a François qui m'a mentionné que si je faisais simplement un autre 100 jours, ça nous mènerait à Noël. Ça me plaît comme idée, me rendre à Noël en photos. Par contre, je vais commencer, dimanche prochain. Tant qu'à me rendre à Noël, je vais m'arranger  pour que ça se termine le 23 décembre. (J'aurais bien terminé le 24 mais je doute de l'envie et du temps pour publier une photo ce soir là.). Je pense aussi essayer de capturer "le quotidien" ou "le rituel" de nos vie pendant ces 100 jours. Présentement, je me cherche un nom pour ce prochain 100 jours de photos et je veux éviter d'avoir Noël dedans, autant que possible. Si vous avez des idées...
 
Je vous annonce aussi qu'il y a des bonnes chances que je fasse le tour du calendrier en photo. J'ai déjà en tête un thème pour celui de l'hiver. Je vous en parlerez en temps et lieux.
 
Donc, des idées de nom? L'envie de vous joindre à moi?

vendredi 6 septembre 2013

Parce que... du nouveau

Parce que semblerait que ça prend ça...

Parce qu'il faut bien se mettre au goût du jour...

Parce qu'on est rendu là...

Je vous invite à vous joindre à nous sur Facebook, sur la nouvelle page de Ge & la famille

Merci d'aimer et de partager!

OHD of summer [98]

Jour 98
Grosse soif

jeudi 5 septembre 2013

OHD of summer [97]

Jour 97
Jour de Biblio selon Éliott: marathon de lecture "Comment clancher huit livres le plus rapidement possible"

Jeudi Confession; la musique pour enfants

La dernière semaine a vraiment passé beaucoup trop vite. Elle a passé si vite en fait, que j'ai allumé que j'avais une confession à écrire si je voulais garder la tradition, quand j'ai vu celle de La vie avec mon Zucchini apparaître sur facebook. Nous y voilà!
 
On aime beaucoup la musique chez-nous. Et un peu de tout. Ça passe de Jesse Cook à Pearl Jam, d'Iron Maiden à Vincent Vallières sans problème et il peut y avoir bien des détours!. Il y a trois chose que je n'aime pas vraiment; le dance, le country et la musique pour enfants. Je dé-tes-te la musique pour enfants. Je trouve cela insupportable de façon générale.
 
Je confesse donc ne jamais acheté d'album de musique jeunesse à mes enfants. En plus de 7 ans, il n'y aura eu qu'une seule exception; l'album de Noël de Toupie et Binou. Ok, ça peut paraître bizarre, détester la musique pour enfants et supporter Marc Labrèche en boucle pendant des heures, 5 semaines par année, mais étrangement, cet album me plaît. Quand même pas autant qu'aux enfants mais c'est correct.
 
Donc, pas de musique pour enfants, j'ai volontairement privé mes enfants de connaître Shilvi, Arthur l'aventurier et  leurs amis. Et ce, sans aucun remord! (c'est que je me suis aussi privé de les entendre aussi!) Mes enfants ont quand même eu des fixations musicales. Mon père et Pascal ont fait Rimouski-Saguenay en écoutant 48 degrés et des étoiles de Georges Langford en boucle non-stop. Ça fait pas mal de fois pour une seule pièce... On a écouté Nobody's Hero à m'en écœurer. (qui aurait pu croire cela possible?! Hein??? Mais ça m'a passé.). Il y a eu les cowboys fringants, Vincent Vallières... Il y a aussi eu des bouts un peu plus plate comme le trippe sur Marie-Mai et celui des deux filles présentement qui porte sur le thème du film Les Schtroumpfs 2. Mais, malgré tout, mes oreilles préfèrent ça à de la musique pour enfants!

mercredi 4 septembre 2013

OHD of summer [96]

Jour 96
Coucher de soleil au travers les estrades

L'automne(enfin!)

Cette semaine, je sens que vraiment, l'automne est sur son envol. Enfin, j'ai envie de dire, pour plein de  raisons.
 
Premièrement, il fait frais, la température a quitter les vingt degrés, un grand bonheur pour moi. Les activités sont bien reprises, cette semaine, il n'y a qu'un soir où je suis à la maison entre 15h et 19h30. Grand garçon a commencé à ramener ses devoirs. Reste juste Zach et sa rentrée progressive...
(je sais bien, et je suis pas mal certaine qu'il va y avoir des profs pour me le redire, certains enfants ont vraiment besoin de cette rentrée progressive au préscolaire, que c'est très difficile et épuisant pour eux. Ici, pour la deuxième fois, elle crée pas mal de frustrations cette rentrée progressive. J'ai encore eu droit à des "J'y vais ou j'y vais pas à l'école?!" ou des "franchement, je trouve ça niaiseux d'attendre avant d'aller à l'école pour vrai". Je peux aussi comprendre que ça laisse plus de temps à l'enseignante de connaître et de se faire une idée sur ses élèves. Je ne suis pas contre personnellement, mais mes enfants le sont clairement.)
On a recommencé à se coucher tôt et à avoir des matins ordonnés. Le week-end dernier, j'ai réalisé en faisait l'épicerie à quel point des épiceries en mode estival et en mode automnal n'ont pas grand chose à voir ensemble. Bref; l'automne est bel et bien de retour! J'en suis plutôt contente, je dois dire.(et pas parce que je me sens en vacances de ne pas avoir la moitié de ma meute. Je me sens personnellement en vacances avec mes enfants et sans horaire. Chacun sa façon de voir la chose!)
 
Au printemps, on avait fait un petit jardin, pour le bonheur des enfants. On commence lentement à cueillir et (joie!) on aura finalement trois citrouilles. Quel bonheur pour les enfants, ces trois citrouilles. Pour ma part, j'imagine la quantité de fines herbes que j'aurais pu avoir avec l'espace que ça a pris pour trois citrouilles et j'ai envie de pleurer mais les enfants eux sont heureux. Donc, je suis un peu heureuse aussi.  
 
Et au fond, j'admets que j'adore cuisiner la citrouille. Mon grand classique c'est de la faire en potage. C'est tellement bon! Les potages sont toujours improvisés ici, un peu de poireau et d'oignons blancs, le reste avec ce que l'on a sous la main.
 
J'ai bien l'intention de tester cette recette dont je vous ai parlé ici, de bœuf asiatique à la mijoteuse , en remplaçant la courge par de la citrouille. Un autre test que j'ai envie de faire, comme les CHERRIOS ont pas mal de succès auprès de la meute, c'est l'essai de ces muffins aux cherrios et à la citrouille (raisins secs en moins, leur succès est plutôt mitigé chez moi). Je suis pas mal convaincue que ce sera un hit! Bien que j'aime beaucoup la citrouille, je trouve qu'on l'exploite peu de façon générale. Une autre façon intéressante que j'ai trouvé afin d'intégrer la citrouille, (en gâterie en plus!) c'est de remplacer la moitié du gras de votre recette de gâteau préféré par de la purée de citrouille. Miam.
 
L'automne, c'est toujours une grosse saison coté bouffe, on se remet aux plats mijotés. Oui, il y a les citrouilles mais aussi les prunes, les pommes, les tomates et tout ce qui reste dans le jardin. On cuisine et on fait du cannage. La saison du cannage, c'est dans les semaines à venir, on s'en reparlera fort probablement!
 
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