jeudi 31 octobre 2013

Décorations d'halloween

D'entrée de jeux, je me confesse; cette année je suis la mère hyper poche qui n'a fait aucune décoration. Habituellement, on décore tout l'avant du terrain. On le transforme en pseudo cimetière un peu weird.(trop même selon certains...) À l'intérieur on décore l'entrée, salon, cuisine et salle à manger. J'adore quand c'est vraiment d'ambiance.
 
Cette année, un matin de la première semaine d'octobre, je suis allée faire le plein de déco. Je suis revenue et ai installé quatre ou cinq petits trucs vite faits sur le terrain. Rien qui demande beaucoup de temps. En repartant prendre l'autobus ce midi-là, les gars ont arraché les clôtures de plastiques, ils ont vu le bus arriver et les ont lancées sur le terrain. Le soir venu, avertissement  numéro un: "Pourriez-vous svp ne pas arracher les décos".
 
Le lendemain matin en quittant pour l'arrêt d'autobus, y'en a un qui accroche une pancarte, elle casse. L'autre arrache une tête de squelette et la laisse sur le bord de l'allée. Avertissement deux :"Si vous êtes pour tout arracher, je ne fais aucune décoration, ni en dedans, ni dehors. La prochaine fois que vous touchez à de quoi, j'enlève tout". C'est resté comme ça le reste de la journée.
 
Le lendemain matin, ils ont arraché la seule main de plastique que j'avais pris le temps d'installer dans une plate-bande et s'amusait à se la lancer. Fait que c'est là que je suis sortie dehors en pyjama(ben oui, intense de même la fille), que j'ai ramassé ce qui restait. (si vous faites le décompte, vous pouvez déduire que ça n'a pas été long du tout; il restait une pancarte!). J'ai ramasser les sacs de tout ce qui attendaient d'être installés et qui traînaient dans l'entrée et les aient rangés dans leur trou pour l'année. Merci, Bye. Je sais pas trop pourquoi, ils avaient la certitude que les décorations seraient de retour sous peu. Une semaine après j'ai eu droit à un: "On les fais-tu en fin de semaine les décorations d'halloween?" Question à laquelle j'ai réaffirmée qu'il n'y en aurait pas.  À la fin de la semaine dernière, j'ai eu droit à: "Maman, dans l'autobus tout le mode demande c'est quand que tu vas mettre les décorations, ce serait pas mal le temps...". Même réponse. Et lundi, le grand m'a demandé: "C'est vraiment sérieux le pas de décorations? Ce n'est pas juste pour qu'on ne les brisent pas? On a compris, c'est pas un peu trop sévère?"
 
Ok, j'avoue. Plusieurs fois, j'ai eu vraiment très envie de les ressortir et de les installer. J'ai flirter plusieurs fois avec les citrouilles à l'épicerie. J'adore ça faire les décorations pour cette fête et j'aime bien voir les gars heureux quand ils sortent de l'autobus parce que c'est vraiment cool leurs décos. Mais pas cette année...
 
La mère hyper poche je disais.
 
Rappelez-moi de ne pas les menacer avec les décorations de Noël parce que c'est moi qui vais brailler ma vie s'il n'y en a pas!
 
 

mardi 29 octobre 2013

spécialisation tardive de l'athlète; réalité possible?

Je n'avais pas écrit sur le sport depuis une éternité et paf(!), deux fois en une semaine.

Ce matin j'ai lu ce billet sur le blogue du SIRC (Sport Information Resource Centre)  sur la spécialisation précoce versus tardive.  Au Canada, on a un programme de développement à long terme de l'athlète et du participant (DLTAP), qui suggère, conformément à la littérature scientifique, de favoriser le coté tardif.
 
Loin de moi l'idée de m'y opposer mais je trouve qu'on me berce avec beaucoup (trop) d'illusions....
 
Premièrement quand on me présente un programme qui me parle "du participant", je le trouve bien dans le programme ce participant mais dans la vraie vie, on le cherche un peu. On dit qu'on veut que les jeunes soient actifs pour la vie. Soit. Mais les structures de réseaux, celles de fédérations et la réalité sur le terrain font que ce n'est pas vraiment réaliste, à mes yeux. Les structures et réseaux sont généralement plus axés sur la performance. Le coté récréatif est présent surtout en bas âge. On parle de spécialisation idéalement à partir de 11 ou 12 ans. Pourtant dans plusieurs sports, débuter à cet âge peut-être tout un casse-tête! Pour le jeune parce qu'il risque fortement de se retrouver avec des jeunes qui auront eux de 5 à 9 ans, pour les clubs parce qu'ils n'auront aucun idée d'où le placer. Quelques fois, la structure de compétition fait que si le jeune a envie de "commencer sur le tard", il a intérêt à avoir un méchant talent naturel pour s'y insérez sinon il n'y a juste pas de place pour lui. Dans d'autres cas, c'est la limite des plateaux sportifs qui causent problèmes. Des heures de glace, des heures de gymnases, de piscines, (ect.) non seulement ça ne pleut pas mais ça se fait généralement drôlement rare. Les clubs doivent prioriser une clientèle, ils doivent choisir. C'est souvent impossible d'offrir du compétitif et du récréatif à partir du moment où ces deux niveaux  ne peuvent plus s'entraîner ensemble. Dans d'autres cas, c'est une question de nombre de participants, en dehors des grands centres, ce problème est redondant. On va souvent choisir d'avoir une équipe compétitive qui va en tournois à l'extérieur plutôt que deux récréatives qui vont jouer ensemble. Et dans ce cas, les joueurs qui ne sont pas sélectionnés n'ont plus d'option sinon que de mettre fin à leur pratique. Souvent, ils n'ont que 12, 13 ou 14 ans. Quand on empêche un jeune de cet âge de s'engager, c'est irréaliste de dire qu'on souhaite développer des jeunes qui deviendront des adultes actifs pour la vie.
 
Deuxièmement, quand on parle de spécialisation tardive, d'un point de vue réaliste, peu de sport laisse la liberté aux jeunes de ne pas pratiquer leur discipline à l'année longue. Déjà à 7 ans, dans la majorité des sports, quand on est pas en pleine saison de compétitions, on fait des camps. On participe à une ligue "en attendant". On s'entraîne de façon hebdomadaire pour être au même niveau que les autres. Comme parents vous pensez refuser? Oubliez le compétitif la saison prochaine, l'entraînement hors-saison est obligatoire pour en faire partie.
 
La réalité, c'est ça. En principe, c'est une très bonne idée, une excellente ligne de conduite. Malheureusement dans les faits, c'est illusoire. Quelques fois, j'ai l'impression que chez Canadian Sport For Life ils vivent dans une tour d'ivoire. Ou qu'ils ne regardent pas souvent sur le terrain. Oui, leur programme de développement est ce que l'on voudrait dans un monde parfait mais dans la réalité...
 
J'ai volontairement exclu de nommer un sport ou un autre. Ou huit autres. J'ai des dizaines d'exemples, provenant de nombreux sports en tête.  Non, je ne crois pas que je généralise. Je crois que ceux qui réussissent à atteindre ces objectifs sont de très rares exceptions.

vendredi 25 octobre 2013

L'engouement pour la course; petite reflexion

Plus tôt ce matin, je suis tombée sur ce texte d'un club de course à pied. Très intéressant et ça s'imbriquait bien dans une réflexion que je poursuis depuis un petit bout. C'est un fait, depuis quelques années, la course à pied gagne énormément en popularité, tout comme le vélo de route.
 
De plus en plus de gens courent ou de plus en plus de gens s'inscrivent à des courses? C'est en gros ce qui est soulevé dans l'article, si vous n'êtes pas encore allé le lire. Et c'est une très bonne question. Cet été, lors d'une rencontre avec des amis, coureurs de longue date, on avait la discussion suivante: "S'il y a beaucoup plus de coureurs aujourd'hui, il n'y a pas vraiment plus de bons coureurs. La façon de courir a changé. Il y a vingt ans, on courrait pour s'entraîner, quand on avait atteint un certain niveau, on pensait faire une course. Ensuite, on en faisait pour voir le progrès, voir ce que notre entraînement donnait. Maintenant, on s'inscrit à une course, on va s'acheter des souliers et on commence à courir pour la faire cette course". Tangente confirmée début août, quand les pubs du marathon du coin ont commencé à apparaître dans les journaux locaux, sur mon fil d'actualités Facebook, les confirmations d'inscriptions aux différentes distances(surtout le 5 et le 10) se sont multipliées. Chez certains pour relever un défi, pour d'autres parce que l'employeur défrayait le coût d'inscription et  plein d'autres raisons. Sûrement aussi pour plusieurs; faire partie de la gang, pour être à la mode. Parce que oui, c'est la mode courir, avouons-le.
 
Plusieurs ont couru pendant les six ou huit semaines qui les séparaient  de cet immanquable dimanche venteux du début octobre. Plusieurs se sont blessés. Plusieurs se sont auto-diagnostiqués blessures et traitements. Certains sont devenus experts auto-proclamés. Certains ont agit sous les bons conseils d'un autre expert plus ou moins auto-proclamé.("T'sais, il connaît ça, il a fait deux 21km cet été"). Depuis presque trois semaines, ces nombreux coureurs ont majoritairement déserté les rues de ma petite ville. Quand je fais ma sortie, je ne croise plus que les vieux de la vieille. Ceux que je vois sur le circuit de course depuis des années, ceux qui me parlent de "quand je travaillais au gym"... Pu vraiment de nouveaux visages. Je croise les mêmes que je croisais l'hiver dernier(et celui d'avant). Parce que s'ils sont des milliers sur la ligne de départ de la promenade en octobre; le circuit régional, bien qu'il ait connu une hausse, compte ses coureurs en centaines et ce sans avoir besoin d'un trop gros boulier.
 
Si on peut assez facilement trouver à lire que c'est merveilleux de voir autant de gens divorcer pour quelques heures par semaine du divan familial afin d'aller flirter avec des souliers de courses, la chose demande à mon avis réflexion. Est-ce qu'à long terme l'impact sera vraiment positif sur la santé des gens? La progression à long terme, la périodisation de l'entraînement, l'entraînement bien structuré et adapté, c'est aussi rare que ce l'était il y a dix ans.  Peu de coureurs s'entraînent bien, de façon à performer le jour de la course. Peu de coureurs courent sur une base régulière, à long terme. Est-ce que dans 10 ans, cet engouement aura créé une meilleure santé globale dans la population? J'aimerais beaucoup répondre oui mais je crois sincèrement que non. Je crois que cette popularité doit causer au moins autant de blessures et de problèmes qu'elle aura améliorée la condition de certains.
 
Je ne dis pas que c'est mal de s'inscrire à une course. Je ne dis pas que cela ne devrait pas être une motivation. Je pense par contre que ça ne devrait pas être la principale motivation de départ pour chausser les souliers. Je pense qu'il serait vraiment avantageux (plutôt que de courir cinq fois semaine pendant plus ou moins deux mois par an), de prendre l'habitude de courir, ne serait-ce que vingt minutes, deux fois par semaine pendant quelques mois, puis peut-être une troisième fois ou trente minutes. Puis une quatrième. Bref, d'intégrer la course à votre mode de vie, que ça en devienne une partie intégrante . Que ce ne soit pas un passage qui devient trop envahissant, dont on se tanne et qui apporte son lots de blessures. Je ne peux pas être contre le fait d'être actif. Par contre, je suis contre le fait de faire les choses de la mauvaise façon ou sous une mauvaise garde. De saines habitudes de vie, ça s'adopte petit à petit, sans grandes bousculades. C'est là, qu'à moyen-long terme, c'est payant sur la santé globale. Dans vingt ans, ce n'est pas le vo2max que vous aurez atteint pendant deux semaines malgré la périostite et le syndrome de bandelette qui refusaient de vous quitter, qui va améliorer votre qualité de vie, c'est le niveau de santé globale que vous aurez atteint et maintenu tout ce temps.
 
Il y a beaucoup d'experts de la course. Malheureusement, peu ont vraiment les connaissances requises. Lire un livre de course ne fait de personne un expert. Certes, on peut y retrouver d'excellente base, mais c'est la base. Un entraînement efficace, c'est adapté. Ça tient compte des caractéristiques de la personne. Même chose pour les blessures, ça peu "ressembler à" sans être la même chose. J'ai lu tellement de blessures impossible depuis un an, (mauvais nom de lésion jumelé avec une mauvaise localisation), traitements douteux(voir ridicule)... Quelques fois, je me demande  si certaines blessures ne sont pas elles aussi à la mode. Tout ça fait que je m'interroge plus sur les coûts reliés à cet engouement, que je me réjouis de ses bienfaits.
 
Ma réflexion ne vise personne en particulier, c'est mon constat global. Je me dis juste que tant qu'à se donner la peine de courir, aussi bien se donner la peine de bien le faire...pour vous et votre santé.

jeudi 24 octobre 2013

100 Vues sur l'automne -40-

-40-
Grimace

Dévouement maternel

Aujourd'hui, c'est une journée que grand garçon attend depuis un petit bout temps. Le 24 octobre. Enfin.
 
C'est aujourd'hui que le tout nouveau Astérix est disponible chez les libraires.
 
Au printemps dernier, une tante à moi a entrepris un ménage de sous-sol. C'est Éliott qui a hérité de la pile de bande dessinée. Cadeau particulièrement intéressant. Dans la pile, il y avait, entre autre, les collections(pratiquement) complètes de Tintin et d'Astérix. Il avait déjà lu plusieurs Tintin mais il a découvert avec passion le petite village de Gaulois. Il a du lire chaque livre au moins 25 fois depuis et en a enregistré les moindres détails. Depuis une semaine, il me rappelait que jeudi matin, j'avais un rendez-vous à ne surtout pas manquer à la librairie, que jeudi midi, il voulait lire ce nouvel épisode.
 
Ce matin à 9h30, pleine de dévouement pour fiston, j'avais Astérix chez les Pictes en mains. S'il y avait eu ici une librairie ouverte à minuit, j'y serais fort probablement allée. Et c'est là que je me confesse, j'avais probablement hâte autant, sinon plus, que fiston de le lire. À 10h30, j'avais bu mon latte et terminé ma lecture...
 
 

mercredi 23 octobre 2013

100 Vues sur l'automne -39-

-39-


Paroles d'enfants 11

Poulette: "Maman, une journée c'est combien d'heures?"
Moi: " C'est 24 heures."
Cri d'Éliott qui s'élève du sous-sol: "C'est même pas vrai!!! Une journée c'est 23 heures,56 minutes et 4 secondes environ"
...
 J'aime le environ, c'est vrai que sa réponse manque de précision.

*****

Avant de partir au soccer, un soir cette semaine, j'ai décidé que je ne passerais pas une heure à chialer pour que les gars s'habillent, en me disant que quand ils auraient assez gelé, ils s'habilleraient d'eux-mêmes. Donc, c'était frisquet et ils étaient pas trop habillés. (la parfaite mère indigne, je sais).
 
Quand ce fut le tour du grand frère, Zach est venu s'asseoir sur moi, il avait froid(surprise!). Il décide qu'il enlève ses souliers. "Ce n'est pas un super idée d'enlever tes souliers maintenant. Il fait froid, on se gèle le derrière."
Zach se tourne avec des points d'interrogations dans les yeux et me répond avec son ton "C'est cave ce que tu dis": "Ben voyons donc! Je me gèle pas du tout le derrière, je suis assis sur toi."
 
*****
Les gars s'obstinent avec la Poulette dans la voiture au sujet de la non-existence des fées et du Père Noël.
Poulette: "Ben oui, ça existe, qui vous pensez apporte l'argent sous l'oreiller et les cadeaux???"
Éliott: "La seule fée qui existe c'est la fée du porte-monnaie, pis c'est Maman parce que c'est ELLE qui paie pour nous faire croire à ses menteries".
 
Au moins, je ne suis pas la fée des mensonges...

100 Vues sur l'automne -38-

-38-
Tout sourire

lundi 21 octobre 2013

100 Vues sur l'automne 35 & 36

-35-
Post samedi-librairie


-36-
Larmes de Crocodile

Tirage #OpaYopa

C'est ce matin que j'ai tiré le nom de la gagnante de l'ensemble cadeau d'une valeur de 100$ de la campagne OpaYopa. Alors, la chanceuse est: Karyne M. Merci à toutes celles qui ont participées.
Bonne semaine!

jeudi 17 octobre 2013

100 Vues sur l'automne -33-

-33-
Poulette

Jeudi confession; réussite scolaire

Si jamais Éliott lit mon blogue un de ces jours, il sera sûrement très heureux de ma confession d'aujourd'hui.  Je me confesse en partant, par pur orgueil, j'empêche mon fils d'avoir une meilleure note à l'école. C'est ce qu'il me chante depuis quelques jours en tout cas.
 
Depuis quelques semaines, grand garçon parlait des saisons à l'école. Thème qui ne l'emballait pas particulièrement; bébé, niaiseux, vraiment trop fafa, je les ai tous entendus! La semaine dernière, délivrance, c'était l'évaluation. Ils allaient ensuite passer à un autre thème. Il revient donc à la maison, outré, avec une note de 24/25. Son premier point perdu de l'année et l'enseignante qui, selon lui, ne veut pas entendre qu'elle est dans le champs. Où il l'a perdu ce foutu point? Il y avait une question qui demandait: " Dans quelle saison:(et là il y avait une liste de peut-être dix actions)?" Donc à : Dans quelle saison ramasse-t-on les feuilles?" , fiston à répondu au printemps et a perdu son point.
 
Ici, ça fait deux automnes qu'on racle, (principalement pour installer la patinoire), on fait un gros tas de feuilles et une maison sous les feuilles avec les buts de hockey. On la laisse là parce que les enfants s'y amusent beaucoup, on finit par être dans le jus et la neige finit par arriver. Fait que notre tas de feuilles, on l'a ramassé au printemps les deux dernières années... Jamais deux sans trois? Je sais pas, pour l'instant, la grosse majorité des feuilles est encore dans les arbres; on est pas rendu là!
 
 
Donc, quand j'ai dit à fiston:"Non mais tout le monde ramasse ses feuilles l'automne. Elle a raison, c'est nous qui remettons à plus tard et qui finissons par pas le faire quand cela en serait le temps." il a demandé que j'écrive à son enseignante pour lui expliquer "la situation". Euh...No way. Bien évidemment, j'ai eu droit à tout un discours parce que je suis "pas responsable et que je fais pas mes tâches à temps, lui il perd des points. C'est mon devoir de le défendre et de dire qu'il a raison". Bon, il aura peut-être pas son point à cause de moi mais il a, je crois, de bonne chance d'être en nomination aux prochains Oscar pour le meilleur acteur scène dramatique.
 
Comme je disais, no way que je vais écrire à une enseignante pour lui expliquer que je ramasse les feuilles sur mon terrain seulement au printemps depuis 2 ans. Et par le fait même, avoir l'air d'une folle qui veut à tout prix donner raison à son enfant(même s'il a raison) et qui se lamente pour un seul foutu point. C'est pas comme si ce point là allait changer de quoi à sa réussite... Il y a de bonnes chances que, vue sa génétique, il me rappelle le jour de ses 20 ans que lorsqu'il était en troisième année, je lui ai fais perdre son premier point dans ses examens mais je suis prête à vivre avec ça. Bien oui, par pur orgueil, j'empêche mon fils d'avoir de meilleures notes à l'école...
 

mercredi 16 octobre 2013

100 Vues sur l'automne -32-

-32-
Je voulais y mettre le plus possible de quotidien. Et cette sortie quotidienne de course-vélo-chariot, elle fait très partie de notre quotidien, même si je n'y traîne jamais mon appareil photo. Et ça, c'est un des endroits préférés de Poulette. Elle adore quand on fait ce parcours, parce que selon elle, c'est ben plus le fun quand on monte. 

Morphée et les enfants

Comment se passe la routine du dodo chez vous? Ici, ces temps-ci, ça se passe à moitié bien. Les bras de Morphée sont pas toujours aussi intéressant qu'on veut bien nous le faire croire... Hé hé. Je ris un peu, c'est bon pour mon moral! Ce n'est pas si pire que ça, j'exagère. Mais justement, il n'y a pas très longtemps, je lisais sur un forum à propos de ce fameux moment. Quelle est la méthode miracle? De quelle façon doit-on procéder? Mon expérience de maman de meute me fait dire qu'on fait de notre mieux avec les enfants que l'on a! Ce n'est pas parce qu'une méthode fonctionne à merveille avec un enfant, qu'elle aura le même effet sur un autre.
 
 
Grand garçon et Poulette sont particulièrement faciles à coucher. Ils y vont souvent d'eux mêmes, sans qu'on ait à dire que c'est l'heure. Poulette demande qu'on aille la porter et son bisou-colle-colle. Souvent, on fait un peu de lecture. Grand garçon va lire dans son lit. La plupart du temps, quand je vais le voir pour lui dire que c'est l'heure de dormir, il dort déjà.
 
La Petite Lionne et Zach, c'est le combat inverse. Totalement. C'est le festival des raisons pour se relever. Avec Zach, mon meilleur hit, c'est de l'envoyer au lit en lui disant que s'il reste couché sagement dix minutes, on va aller lui lire une histoire. Si on est chanceux, il va s'endormir après l'histoire. Ça marche environ un soir sur quatre. Les autres, il a envie de pipi, il a soif, il a mal brossé ses dents, etc. On a pas essayé toutes les méthodes sauf la camisole de force et les contentions. ;-)  Sérieusement, le plus efficace avec lui, ça reste d'ignorer ses aller-retour. Avec la Lionne, un mot d'ordre pour l'endormir, la coller. Le problème majeur avec Lionne et le dodo c'est les siestes dans la journée. Idéalement, j'essaie qu'elle n'en fasse pas. Dans ce temps là, les soirées se passent très bien. Par contre, si on sort en voiture dans la journée et qu'elle s'endort, même si ce n'est qu'un petit dix minutes,  je sais parfaitement qu'elle ne sera pas couché avant 22h.
 
Peu importe l'enfant, il y a un moment incontournable avant le sommeil chez nous; la lecture. Ils ont tous un endroit pour ranger des livres près de leur lit. Quelques fois ce sont eux qui lisent(ou regarde des livres), quelques fois c'est nous. Mais c'est un rendez-vous immanquable. En entraînement on parle souvent du "retour au calme" à la fin d'une séance. Je trouve que la lecture avant de se coucher représente à merveille ce moment important.
 
 
Quand ils étaient bébés, j'adorais masser les enfants avant le dernier boire de la journée. C'était un moment magique qui les calmait vraiment bien. Un petit moment seul avec maman, tout en douceur. J'avais acheté un disque de berceuses d'un peu partout dans le monde, musique parfaite pour ce moment. Ils ont tous adoré. Les enfants vieillissants, les massages sont devenus plus rares mais ils en demandent encore à l'occasion. Que ce soit le massage ou la lecture, ce moment est toujours précédé de la première étape dans la routine du soir, le bain ou la douche.
 
Je dois confesser que j'adore l'odeur des enfants quand ils sortent de la douche. Je confesse aussi que malgré qu'ils ne soient plus des bébés, je continue d'acheter régulièrement les produits JOHNSON’SMD Baby.

Quelques fois
je fais plaisir à ma Poulette et je lui achètes la gamme JOHNSON’SMD BEDTIMEMD qu'elle adore. Par contre, de façon générale, je penche plutôt vers les produits JOHNSON’SMD NATURALMD qui sont sans paraben, teinture et phtalate. Plus ils grandissent, moins le moment  du bain en est un de jeux et plus il participe à amener le calme. On s'avouera qu'il y a un moment où pour les enfants, le bain n'est plus vraiment relaxant...(ce moment venu, je transférais souvent vers la douche. Bien qu'ils peuvent toujours y jouer, c'est moins exaltant que dans le bain!)
 
Et vous, ca se passe comment le dodo chez vous? Avez-vous trouver la méthode magique? C'est un moment tranquille? Une tempête? Un ou l'autre selon...?
 
 
« Divulgation : Je participe à la campagne JOHNSON’SMD NATURALMD organisée par Mom Central Canada pour le compte de JOHNSON’SMD NATURALMD. En échange de l’expression franche de mon opinion et en guise de remerciement pour ma participation, je reçois certains avantages. Les opinions émises sur ce blogue sont les miennes. »



mardi 15 octobre 2013

100 Vues sur l'automne -31-

-31-
Crinquée, comme toujours

Les grandes premières

Chaque enfant, apporte avec lui son lot de premières fois. Comme parent, c'est toujours émouvant de vivre toutes ces premières fois, que ce soit notre premier ou notre quatrième enfant.(Je peux difficilement parler de comment on vit ça rendu au dixième mais je présume que ça se ressemble toujours!)
 
Première rencontre
Quelques fois les première sont très attendues. La poulette, elle a eu sa première dent à treize mois. Même si je savais que ce n'était pas anormal, j'avais foutrement hâte d'en voir apparaitre une. Et elle devait vraiment vouloir me rassurer, parce qu'elle en a fait sortir cinq dans la même semaine.
 
D'autres fois, c'est plutôt cocasse les premières. Notre Zach ayant été pendant quelques années le roi incontesté pour renverser les verres, faire tomber les assiettes et compagnie, le premier mot qui est sorti de la bouche de Poulette a été "dégât". Pas Maman, pas Papa, pas le nom d'un des grands frères mais dégât. Quand je dis qu'il en était le roi incontesté, vous pouvez me croire!
 
Le premier sourire
Il y a aussi les premières épatantes. Éliott, la journée de ses huit mois, s'est offert un aller-retour sur ses pieds d'un bout à l'autre de la maison.
 
Les premières coup de cœur aussi; le premier sourire, le premier "Maman", le premier bain, le premier "Je t'aime"... Et puis, ils grandissent, il y a la première phrase, la première fois en vélo, en ski, la première compétition, la première médaille, la première lecture...

Première fois dans l'eau
 Il y a aussi les incontournables premières fois avec les aliments; première céréale, première purée, les premiers solides et le fameux premier gâteau de fête.(j'aurais bien voulu vous mettre une photo d'enfant bien beurré, mais aucun des quatre n'a voulu me faire ce bonheur!). Cheerios se joint, encore cette année, aux parents pour célébrer ces grandes premières avec la campagne Les Premiers Cheerios.  Sur les boites de Cheerios présentement en magasins, vous pouvez voir la mosaïque 2013, qui met en vedette tous ces bébés et cs tout-petits qui ont goûté des Cheerios pour la première fois. C’est une œuvre photographique en l’honneur de ces moments précieux dans la vie. En allant visiter la page Facebook de Vivre délicieusement, vous pourrez télécharger à l'aide de l'application, une photo de votre enfant et ses Premiers Cheerios et ainsi participer à la mosaïque 2014. En téléchargeant une photo, vous obtiendrez aussi un bon rabais de 1$. (un bon rabais par ménage, par année, tant qu'il y en aura). Une belle façon de célébrer toutes ces premières!
 
Premières médailles
 « Divulgation : Je participe à la campagne des Premiers Cheerios organisée par Mom Central Canada pour le compte de General Mills. Je retire quelques avantages en guise de remerciement pour donner mon avis honnêtement. Les opinions exprimées sur ce blogue m’appartiennent. »

jeudi 10 octobre 2013

Confession sportive

Cette semaine, je vous fais une confession à saveur sportive. La semaine dernière, j'ai mentionnée dans ma confession trouver que le sport est un excellent moyen de développer un être humain de façon globale. Bien au delà des habiletés motrices, le sport peut apporter beaucoup à des enfants(et des adultes). On y vit de magnifiques leçons de vie.
 
Un des principaux acteurs qui permettra d'établir jusqu'où le sport développera la personne, c'est bien sûr l'entraîneur. Il est clairement un rôle clé. Par contre, les parents gardent un rôle non-négligeable. Personnellement, je trouve que le sport est un "endroit" magnifique pour apprendre le sens de l'effort et du dépassement. L'endroit idéal pour apprendre à travailler fort, toujours. L'endroit idéal pour avoir la satisfaction du devoir accompli. Je suis une adepte du "si une chose mérite d'être faite, elle mérite d'être bien faite". J'accorde peu d'importance à la médaille ou au classement, l'important c'est l'effort (et le plaisir, bien sûr!) Je le dis souvent à Éliott "J'aime mieux te voir finir dernier en donnant le meilleur de toi que de te voir sur le podium sans avoir forcé". Ici, c'est notre façon d'aborder la chose. Un autre point sur lequel on insiste c'est le respect; l'éthique et l'esprit sportif. Un fondement du sport, malheureusement trop souvent perdu de vue.
 
Le respect de l'adversaire, le respect des coéquipiers, c'est essentiel à mes yeux. L'été dernier, grand garçon à fait un camp de soccer avec l'Académie Pro-foot. Je n'ai que de bons mots à dire pour eux, une qualité d'entraîneurs, un niveau technique et de transmission du savoir rarement vu à ce niveau(et ce prix!). À chaque fin de journée, les entraîneurs avaient une discussion d'éthique avec les jeunes. Un soir, je suis arrivée juste à temps pour ce moment magnifique, où ils exprimaient aux jeunes que "tu peux être le meilleur joueur au monde, si tu n'as pas de respect pour les autres, nous n'en aurons aucun pour toi. Le meilleur au monde, celui qui mérite d'être respecté, c'est celui qui est capable d'apporter les autres à élever leurs niveaux, qui va les aider. C'est celui-là qu'on va respecter." Tout à fait ce que j'en pense. Parce que même dans les sports individuels, un athlète ne sera jamais meilleur que le maillon faible de son équipe. Et peu d'athlètes s'entraînent vraiment seul, sans une équipe autour d'eux, même s'ils compétitionnent seuls. Parce que pour avancer, ils ont tout intérêt à travailler avec les autres et non contre, ou en se plaçant sur un piédestal.
 
Entendre un jeune en narguer un autre parce que lui n'a pas eu de médaille, ça me tort les tripes un peu. Ça mérite un bon sermon. Voir un jeune culpabiliser les autres participants pour sa malchance et son parent le soutenir, ça m'agresse un peu. Dans l'éthique sportive, la personne qui à le plus d'influence sur le jeune, c'est le parent. Ses réactions, ses encouragements et sa façon de motiver le jeune auront une influence notable sur l'attitude de ce dernier face à l'éthique et à la démonstration  de son esprit sportif.
 
Je fais une première confession, j'ai une tendance à crier un peu(beaucoup) pour encourager les jeunes de ma gang. Ça fait partie de la game. Où j'ai vraiment un problème, c'est quand j'entends un cri de joie parce qu'un adversaire à chuter, s'est blessé ou à fait une gaffe. Je fais ma deuxième confession, je trouve ça absolument insupportable. (que ce soit pour des jeunes de 5 ans ou dans la NHL, ça ne passe juste pas.) C'est un énorme manque de respect et cela va directement à l'encontre de l'esprit sportif. On n'a aucun ennemi dans le sport. On a des adversaires. En bon québécois, je dirais que: "ça me pompe l'air royalement". Et si par malheur le parent qui fait ça appartient au même club que moi, j'ai profondément honte. Ça entache un club au complet, ça défait l'image qu'un club peut mettre des années à se bâtir. Dans une équipe, on a juste besoin d'un impertinent pour que les cent autres personnes qui en font partie héritent de la même réputation. Et clairement, même si ce n'est pas la faute du jeune, jamais plus je ne vais l'encourager. Dernièrement, j'ai eu honte...

mardi 8 octobre 2013

100 Vues sur l'automne -24-

-24-
"Moi aussi, je veux des devoirs!"


100 Vues sur l'automne -21, 22 et 23-

Voici les photos des trois derniers jours. Nos vies ont été un espèce de gros coup de vent. J'ai pris peu de photos et j'ai manqué atrocement de temps.
 
-21-
Miss Clin d'œil

-22-
L'heure du bain

 
-23-
Enfants heureux

lundi 7 octobre 2013

Héros d'enfance

Le début octobre marque un moment des plus important pour les enfants chez-nous. LE moment où l'on décore pour l'halloween et où l'on va aller acheter les costumes qu'ils ont choisis depuis des mois. 
 
Spider-Fräulein
Ce n'est jamais une grande surprise pour moi d'années en années. Si Éliott y met de la variété, pour Zach et Sam ont tourne toujours pas mal toujours autour d'un seul et unique thème; Spiderman. J'ai pas mal toutes les versions des costumes à la maison , acheter chacune des versions de Spiderman depuis 5 ans; bleu et rouge pâle, bleu et rouge plus foncés, noir, avec muscles, pas de muscles. J'en rachète au moins un par année...parce que ceux de l'année d'avant sont complètement défait. Ils les portent à l'année longue. Au point que mon frère m'a déjà fait remarqué que je devrais peut-être acheter 3 ou 4 costumes  l'automne venu plutôt que des vêtements. La Poulette s'est fait rebaptisée Spider-Fräulein. Les superhéros ont vraiment la cotes ici! Vous devinez qu'on a pas mal exploité le thème pour les anniversaires aussi.

 

Cette année Zach a décidé de tromper Spiderman. C'est assez étonnant, j'en suis la première surprise. Par contre, comme il a opté pour Captain America, je présume que ce n'est pas trop une grosse tromperie.

Non seulement, ils adorent les costumes mais on pas mal de t-shirt à l'image de Superhéros Marvel. Moi qui, habituellement, déteste le vêtements  de "bonhommes" pour enfants,  je les acheté sans jamais rechigner. J'en ai même souvent acheté en surprise. Probablement que le fait que ce sont aussi les héros de mon enfance a pas mal aidé...(moi aussi j'avais un faible pour Spider).

Bien sûr, on a aussi des petits bonhommes de tout ces Superheros; Spiderman, captain America, Ironman, Wolverine et les autres. On a les jouets qui viennent avec tout ça. L'an dernier, il m'arrivait d'aller courir avec Spiderman (cette année il arrive que Captain America me fasse la surprise de se joindre à moi et fasse rire tout ceux qui me croise). On a écouter ensemble les films, on est allé voir le dernier au cinéma. On a même fait écouter les vieilles émissions aux enfants. On a des dizaines de livres sur eux, c'est avec les livres qu'ils ont fait la connaissance de Spiderman, les Avengers, Captain America et tout leurs complices. On vit pas mal avec lui, depuis un bon bout de temps, je dirais. 

Les enfant étaient très heureux d'apprendre que dans les emballages KinderSurprise spécialement identifiés, deux œufs sur trois contiendront un jouet de l'édition limité, soit des Superhéros Marvel, soit des Princesses de Disney. Bien que la Poulette ait toujours eu un penchant plus marqué vers les Superhéros que les Princesses, la Lionne, elle, sera très heureuse. Elle pourra, (peut-être) garder les Princesses pour elle! Quoi que Poulette a demandé, à ma grande surprise, des draps de Cendrillon la semaine dernière. (Ceux qui me connaissent ne seront sûrement pas très surpris d'apprendre que j'ai une fille pas trop attiré par les Princesses). La Lionne elle, balance entre les deux. Sans être vraiment  "fifille", elle aime bien les deux.


En vous rendant sur la page Facebook de Kinder Canada vous pourrez jeter un œil aux Superhéros et Princesses Disney. Ici, Cendrillon est espérée grandement par la Lionne. Zach et Poulette espère seulement réussir à avoir tout les Superhéros; rien de moins!

Pour ceux qui n'ont pas remarqué l'image à droite de la page, c'est avec grand bonheur que je me joins au programme des Mamans Kinder pour la prochaine année. Qui n'aime pas les œufs Kinder?!  Non seulement c'est un bonheur pour les enfants, mais ça me rappelle les copains du boulot quand j'habitais Québec, avec qui l'ont avait pris l'habite de s'acheter des œufs Kinder comme petite attention. Un petit clin d'œil à vous tous!

Et chez-vous, il y a un Superheros Marvel ou une Princesse de Disney qui remporte la palme?

« Divulgation : Je participe à la campagne des mamans KINDERMD, organisée par Mom Central Canada, et j’en retire quelques avantages. Les opinions exprimées sur ce blogue sont les miennes. »







dimanche 6 octobre 2013

Courir pour Mister C

Hier, alors que je m'amusais sur Facebook, Éliott est venu jeter un œil par dessus mon épaule. Puis il a vu l'écran et m'a demandé c'était quoi la photo avec les dossards et courir pour Mister C. Je lui ai rappelé, au printemps dernier, il a su, parce qu'effectivement, personne n'a oublié. Je lui ai dit que demain, au Marathon ici, plusieurs ami(e)s de Yanick allait courir pour se souvenir, qu'ils allaient aussi courir pour appuyer Karine, Éloi et Béatrice. Je lui ai aussi dit que s'il n'y avait pas eu une compétition de patinage de vitesse, j'aurais fait exception à mon habitude de ne pas faire les courses pour laisser l'homme courir(parce que pour moi faire les courses, habituellement, ce n'est pas important. L'important, c'est de m'entrainer) et j'aurais fait le 4,2. J'aurais moi aussi, couru aux cotés de Karine, pour Mister C, que c'était important pour moi. C'est là que mon p'tit homme m'a dit que si je ne pouvais pas courir; lui, son frère et sa sœur pouvaient patiner pour Mister C. Fait que ce matin, y'a toute un petite meute qui est de pensées avec tout ceux qui courent un distance quelconque au Marathon pour MisterC. Et il y a trois p'tits humains(comme dirait Karine) qui vont patiner en étant avec vous. Bonne course gang!
Karine, je te lève mon chapeau pour le chemin parcouru ces 5 derniers mois. Lâches pas mon amie! Et Cheers pour cet après-midi; à ton homme et au bonheur qui te retrouvera bien un de ces 4! Mon cœur et mes pensées sont avec toi. xxx



samedi 5 octobre 2013

Petit bonheur d'automne

J'ai déjà mentionné que j'adore l'automne?

Et oui, j'adore l'automne et ses journées fraîches. J'adore passer des journée dehors à m'amuser avec les enfants. L'automne, c'est l'annonce de l'hiver qui s'en vient.  J'adore aller marcher dans les montagnes, j'adore le fleuve en automne. C'est si beau les grandes marées!(une fois par vingt ans elles font pas mal de dégâts mais c'est un magnifique spectacle à voir). J'adorais les longues sorties de vélo de montagne automnales, encore plus celles sous la pluie.(je mets ça au passé parce qu'avec quatre enfants, elles sont très rares ces sorties!) Quel bonheur d'aller jouer dans les feuilles avec les enfants. J'adore les journées dehors au frais, ça fait se sentir vivant, je trouve.
Et quoi de mieux, après une bonne journée dehors à prendre l'air, qu'un petit apéro entre amis? Un de mes grands plaisirs coupables, c'est le vin chaud, je l'avoue. Après une bonne journée de ski, que du bonheur. La parfaite variante automnale au vin chaud? Le cidre chaud. Idéalement, on se prépare un gros pot d'épices à l'automne, qui pourra nous suivre jusqu'au printemps. Pour se faire, préalablement, faire sécher au four environ 3/4 de tasse d'écorces d'oranges et de citrons.(personnellement, je préfère avec seulement une légère touche de citron). Une fois les écorces refroidies, je les dépose dans un bol. J'ajoute la même quantité de bâtons de cannelle cassés en gros morceaux. Reste à ajouter à part égale des graines de piment de la Jamaïque et des clous de girofle. J'y vais à l'œil mais je dirais 4-5 cuillère à soupe de chaque. Bien sur, chacun adapte la recette selon ses goûts. C'est comme la sauce à spag, le bonheur de la chose c'est qu'il n'y a pas un endroit où ça goûte la même chose! Je mélange le tout et le dépose dans un pot Masson. Quand l'envie nous prend de déguster un bon cidre(ou vin) chaud ne reste plus qu'à porter à ébullition le cidre avec le mélange d'épices(environ 1 cuillère à soupe par 2 tasses de cidre), couvrir et laisser mijoter au feu doux pour une vingtaine de minutes puis passer au tamis. Et enfin; savourer. Peut-être devant un feu, entre amis, pour en peu plus de bonheur. Et pourquoi pas en se régalant d'une bonne tarte aux pommes sans gluten ou encore des pommes au four en croûte, question de passer le surplus de pommes cueillies le week-end précédent?  Avouez que ça donne le goût...
Bon automne!
« Divulgation : je fais partie d’un programme Vivre délicieusement pour les blogueuses et, à ce titre, j’en retire quelques avantages. Les opinions émises sont les miennes. »

vendredi 4 octobre 2013

100 Vues sur l'automne -20-

-20-
Changement de poignée de porte; toujours pratique un homme à la maison!

Paroles d'enfant 10

Moi à Poulette très optimiste au sujet d'une compétition à venir:
"Tu sais que tu es le bébé dans ta catégorie, les autres ont tous au moins un an et certains deux de plus que toi. Ça va être difficile ma cocotte."
 
Poulette d'un ton déterminé: "ce n'est pas parce qu'ils sont plus grands que moi qu'ils vont m'arrêter!"

Tu rockes ma Poulette!

jeudi 3 octobre 2013

100 Vues sur l'automne -19-

-19-
Sérieuse

Activité et financement

Mes enfants sont pas mal actifs. Ils aiment beaucoup faire du sport mais apprécient aussi pas mal les activités culturelles en générale. Oui, je sais je parle plus souvent du sport que du reste. Je peux sûrement mettre ça sur le dos d'une déformation professionnelle quelconque... Aussi parce que j'ai bien voulu acheter ce que quelques profs ont essayé de me vendre à l'université; le sport est un magnifique moyen de développer globalement un être humain, sous tous ses aspects, si on considère la personne avant la performance. Ce qui ne veut pas dire de ne mettre aucune importance sur la performance non plus. (héhé! Ceux qui me connaissent auraient fait le saut si j'avais dit le contraire. Je suis tout de même spécialisée pour travailler avec les athlètes.)
 
 
L'ensemble de la meute est pas mal active, ils pratiquent tous plus d'une activités et ne font pas nécessairement tous exactement les mêmes activités, ça fait pas mal d'activités différentes. Qui dit activité, dit aussi habituellement; campagne de financement. Je m'en confesse, je déteste les campagnes de financement du plus profond de mon être.
 
 
Je comprends parfaitement leurs raisons d'être. J'ai été et suis toujours impliqué au sein de plusieurs organismes et clubs sportifs; comme entraîneur, comme évaluateur, comme instructeur ou au sein de conseils d'administration. Je sais que le financement est ardu. Je sais que ça rend les activités plus accessible aux gens moins fortunés. Mais j'haïs ça quand même! Je déteste aller quêter à droite et à gauche pour vendre des trucs. Habituellement, on paie le surplus et on s'en débarrasse. Il y a souvent plusieurs campagnes en même temps, ce qui fait qu'on sollicite les mêmes personnes à plusieurs reprises. Bleh! Déjà qu'à l'école, la campagne de financement est obligatoire. Ok, c'est faux, elle n'est pas obligatoire. Sauf que quand chaque deux jours on demande en classe pour combien d'argent chaque enfant à vendu, qu'on remet des listes des clients potentiels à contacter, qu'on remet des prix, les parents ont bien beau pouvoir refuser(parce qu'on se cachera pas que ce sont les parents qui vendent bien plus que les enfants), on se doute que notre enfant va se sentir exclu et cheap de ne pas participer. (si vous vous en doutez pas, vous avez de fortes chances qu'il vous le souligne).  Bref, on participe à celle là le plus minimalement possible. Je sais bien qu'elle rapporte beaucoup d'argent à l'école cette campagne, que mon enfant en profite tellement(parce qu'en AGA on me parle pas mal plus de ça que de ce qui se passe dans l'école) mais j'ai un malaise avec. (je clos le sujet parce que je pourrais en faire un long billet. Peut-être bientôt qui sait...elle commence sous peu cette campagne). Bref, je déteste ces foutues campagnes de financement.
 
Voila donc qu'à l'inscription, via internet, de l'une des activités de la Poulette, bien que j'ai tout fait comme il se doit pour ne pas avoir à vendre de chocolat, il y a eu un problème informatique. Sur mon reçu il est indiqué que je ne participe pas à la campagne mais ils ont oublié de me le charger ce qui fait que (surprise!) Poulette est ressortie de son cours avec une boite de chocolat dans les mains. Et semble-t-il que c'est trop tard pour faire quoi que soit. (C'est aussi trop tard parce que les enfants, eux, veulent en vendre. Une fois la boite en main, ça passe ben mal de refuser...)
 
La boite a été rangée dans une armoire sagement. Un matin cette semaine, je m'installe à la table en compagnie de mon ordi, pour régler quelques dossiers plutôt urgent pendant que les filles jouent sont supposées jouer dans la salle de jeux. Poulette joue bel et bien dans la salle de jeux, à un moment le bruit de ses petits pas qui s'approchent se fait entendre, quand tout à coup c'est sa voix qui résonne: "Ooooh, Lionne! Qu'est ce que tu fais là?! Maman va être fâchée." On en convient, c'est comme un appel à se lever et aller voir! J'ai retrouvé ma Lionne assise devant l'armoire, la boite de chocolats bien ouverte, en train d'ouvrir chacune des palettes et boites. Quelle sagesse, elle ne les mangeait même pas! Fait que je vais payer 100$ de chocolat que je ne peux même plus vendre! Re-bleh!
 
Vous ai-je confessé que je déteste les campagnes de financement??? (vous avez le droit de rire de moi, c'est correct)

mercredi 2 octobre 2013

100 Vues sur l'automne -18-


-18-
Deux colleuses
 

Paroles d'enfants [9]

Hier en fin d'après-midi, la meute se préparait pour des entraînements de patin. Les gars arrivent de l'école vers 15h25, grand garçon doit être sur la glace à 16h30 et j'ai comme ambition que les devoirs soient fait avant de partir.(comme ça a bien fonctionné tout l'an dernier, je ne vois pas pourquoi cela changerait).
 
 
Donc, la meute se prépare au sous-sol, j'entends la Poulette "tasses-toi Zach, je veux monter". Et c'est là que j'entends Zach crier  hurler à pleins poumons "ANAAAARRRRCHIIIIIIE!". Il l'a répété quelques fois avant que je lui dise de laisser passer sa sœur. Les deux gars étaient morts de rire.
 
 
Une fois dans l'auto, les gars en riaient encore, je leur ai demandé s'ils avaient une idée de ce que ça voulait dire anarchie. Zach, du haut de ses 5 ans, m'a répondu d'un ton un peu insulté: "C'est quand personne ne suit les règles, que personne ne veut écouter et que c'est le bordel. Comme chez-nous des fois. Quand même, je sais c'est quoi l'anarchie."
 
 
Bouche bée la mère.

100 Vues sur l'automne -17-

-17-
Ready?

mardi 1 octobre 2013