mardi 31 décembre 2013

Bilan d'automne

Je n'ai pas fait de retour sur mon automne en photos. J'ai été un peu déçue de le finir en retard(en fait de le publier en retard parce que pour la prise de photos, l'échéance fut respectée.) mais déplacements et temps des fêtes étant ce qu'ils sont, je n'ai pu faire autrement. 

Disons que de réaliser 100 photos d'automne a été plus exigeant que de le faire en été. Au travers l'école, la routines et les mille et une activités, c'est moins évident. Par contre; même constat qu'en septembre. Si au jour le jour j'étais souvent peu satisfaite de ce que j'avais à publier, le regard avec le recul l'est pas mal plus. Pas parfait mais relativement satisfaisant. 

Pour 2014, j'ai décidé de me lancer dans un défi quotidien. C'était un peu la suite logique des choses pour moi. M'imposer cette prise quotidienne, même si c'est parfois pesant, c'est aussi me doter de merveilleux souvenirs. C'est de suivre une évolution, de m'offrir une image du quotidien de la meute, plutôt que d'immortaliser seulement certains événements(de façon un peu abusive trop souvent). 

Je publierai ici. Éventuellement, une page ou un blogue vraiment dédié à la photo devrait naître. C'est mon projet 2014, me lancer en photo.(je m'en étais confesser en novembre d'ailleurs.).

Ça commencera demain. 
 Et je compte bien sortir de mon silence radio bientôt. Je fais le plein (ou le vide, je ne suis pas trop sûre! Hehe) d'énergie pendant les fêtes. 
Et préparez-vous, à peine plus d'un mois avant les olympiques! Soyez certains que j'en parlerez fort probablement beaucoup (trop?) ici! 

samedi 21 décembre 2013

100 Vues sur l'automne -96-

-96-
Encore des petits pieds
(Je retiens peut-être trop souvent les petits pieds comme photo mais J'adore vraiment ça.)
 


100 Vues sur l'automne -95-

-95-
Je me demande d'où ils tiennent pour avoir l'idée de jeux comme ca...


mardi 17 décembre 2013

Paroles d'enfants -14-

Hier matin, avant de partir pour l'école, Zach a décidé qu'il voulait soit une purée en sachet, soit des clémentines en petits pots pour collation. Choses que nous n'avions pas. Par contre, une caisse d'oranges pleine était au garde-manger, nous avions pommes, bananes et multitude de légumes. Mais pas ce qu'il voulait. Il a décidé de quitter sans collation (en bougonnant légèrement) et d'aller nous faire honte à l'école.

Pendant la discussion du matin, j'ai glissé quelque chose qui devait ressembler à :"noway que je vais payer pour acheter d'autres collations, quand il y en a ici. Je gaspillerai pas de l'argent pour jeter des fruits qui sont parfaits comme collation. Tant pis pour toi, si ça fait pas; tu t'en passes."

À son retour le midi, on parle de son avant-midi. L'enseignante régulière de sa classe est en congé de maternité depuis 2 semaines et je n'ai pas encore eu l'occasion de rencontrer celle en place pour le reste de l'année. Donc, il me parle de son cours d'éducation physique et finit par me dire: "ha oui, Madame x m'a donné une purée de fruit pour ma collation. J'en ai eu une finalement"
Moi:"comment ça elle t'a donné une collation?"
Zach: "Ben elle m'a demandé où était ma collation. J'ai dit que tu n'avais pas d'argent pour acheter de purée."

Un gros A+ pour l'art de faire honte à ses parents. Ce matin il avait une collation et une foutue purée à redonner à Madame x...

lundi 16 décembre 2013

100 Vues sur l'automne -93-

-93-
Tout Blanc
 



100 Vues sur l'automne -92-

-92-
Quand la fin de l'automne se prend pour un début d'hiver.
:-)


Au-delà de la ligne bleue

Au Québec, il y a une idée reçue qu'avoir des enfants qui jouent au hockey, ça coûte particulièrement cher. Idée avec laquelle je ne suis absolument pas d'accord. Pratiquer un sport de façon compétitive coûte cher, peu importe le sport, à quelques très rares exceptions. Une saison de compétitions en ski alpin serait plus accessible qu'une de hockey? Je doute... Mes enfants pratiquent le patinage de vitesse courte piste. Oui, ils ont l'air de n'avoir qu'un "skin suit" et des patins quand ils sont sur la glace... et pourtant! Les pièces d'équipements de protection sont nombreuses et dispendieuses. Équiper mes patineurs me coûtent probablement plus cher que me coûterait des équipements de hockey. Ne serait-ce que pour les lames, (parce qu'en patinage de vitesse les bottines et les lames ça ne vient pas ensemble). Combien pour des lames? Les lames les moins dispendieuses c'est 200$ et il vous reste de l'argent à investir pour qu'elles soient fonctionnelles. (je vous évite les grandes explications mais les lames doivent avoir un berceau et une banane, deux courbures que l'on donne à cette dernière et on doit les faire faire). C'est vrai que je ne vais pas payer pour les faire aiguiser. Je le fais moi-même. Mais pour pouvoir le faire, je dois investir minimalement 400$ et je vais aussi devoir entretenir cet équipement, m'assurer qu'il reste en état et remplacer quelques morceaux de temps en temps. Comprenez que ce n'est pas une plainte, j'adore ce sport et mes enfants aussi, il y a bien longtemps que j'ai compris que la compétition sportive c'est dispendieux. Mais mon point, c'est que le hockey ne l'est pas plus qu'un autre sport, il est seulement plus pratiqué.
 
Si on aime bien voir nos enfants s'épanouir dans leurs activités sportives(ou artistiques), j'imagine que la plupart des parents sont comme nous, et espère voir leurs enfants étudier afin de pouvoir éventuellement se trouver un travail qu'ils aimeront, qui leurs permettra de bien vivre et de se réaliser. Dès la naissance de grand garçon, on s'est informé sur les possibilités d'épargne pour de futures études. Ça semble loin ces études et en même temps, on risque d'y arriver si rapidement!  Entre les compagnies très insistantes, les services qui répondent mieux à nos besoins dont on entend pas parler et nous qui déteste tout ce qui tourne autour de la comptabilité et des finances, pas toujours facile de s'y retrouver!
 
Selon un sondage réalisé par Léger pour Consultants C.S.T. inc. , 36% de répondants estiment qu'il est plus important de financer les activités parascolaires que d'épargner en vue des études postsecondaires. Pourtant, 89% ont aussi dit qu'il est important d'aider leur enfant à financer les études post-secondaires. Plusieurs parents iraient jusqu'à emprunter ou retarder leur retraite pour permettre à leur enfant de poursuivre dans ses activités. Une histoire que l'on a entendu bien souvent ici au Québec de la part d'athlètes olympiques; sacrifier les activités de la fratrie au profit du performant de la famille, vendre la maison pour financer l'entraînement, etc. Est-ce que ça vaut le coup? Tout est une question de valeurs et de bonheur à mon avis. Chacun fait ses choix.  Reste que pour moi, les études c'est primordial. Jamais le sport ne devrait demander de mettre les études de coté. Les fédérations devraient toutes aller dans ce sens. Une carrière sportive, même pour un médaillé olympique, ça se termine tôt et ça demande "un après". Certes, certains sports peuvent assurer un avenir bien nanti. Comme le hockey peut-être? Peut-être mais c'est un pari fort risqué! Les chances pour un joueur inscrit au hockey mineur de jouer dans la NHL sont de 0.1%. Et là, on parle de porter le gilet pendant une partie, ce qui ne veut pas dire que les lames toucheront la glace. On est loin d'un avenir assuré!  
 
Zach, fier de sa médaille
Mes enfants adorent le sport, tant et aussi qu'ils y auront du plaisir, j'espère être en mesure de leur permettre de "vivre" leurs ambitions. La Poulette m'a annoncée, la semaine dernière, ses intentions olympiennes en patinage de vitesse longue piste! J'avoue, ça m'a fait rire mais en même temps, je trouve ça magique de les voir nourrir ce genre de rêve. D'un autre coté, j'espère bien les voir poursuivre des études qui leurs permettront d'avoir une profession ou un métier, d'avoir des compétences reconnus qui feront que peu importe leurs choix, ils auront des options devant eux. Qu'ils ne se retrouveront pas devant rien. À mes yeux, les deux vont de pairs. Il faut simplement savoir doser et ce n'est pas toujours si évident. En vous rendant sur le site au-delà de la ligne bleue, vous pourrez obtenir de nombreuses informations sur les REEE. On en a jamais trop, c'est si difficile(pour moi, en tout cas) de prendre une décision que l'on sent vraiment éclairée sur le sujet.  Vous pourrez également y découvrir un concours s'adressant aux équipes et/ou associations de hockey. En inscrivant cette dernière, elle court la chance de remporter 10 000$ destinés à réduire le coût des dépenses reliées à la pratique du sport pour ses membres. Si vous êtes sur Twitter, CST plan fiduciaire canadien de bourses d'études organise une discussion le 17 décembre à 21h. Pour participer, assurez-vous de suivre @CSTConsultants et @beyondtheblueline, le mot-clic sera #hockeyvseducation. Des prix seront tirés durant la discussion.
 
Éliott à l'entraînement:
Porter un ancien skin de l'équipe canadienne,
c'est aussi rêver...
Et vous, quelle importance donnez-vous dans la vie de vos enfants aux activités parascolaires vis-à-vis l'éducation? Chez nous les activités parascolaires ont la cote mais jamais aux détriments des études. En ce sens, je suis très heureuses que mes enfants, fans de patinage de vitesse, aient un Mathieu Giroux à admirer! J'espère du fond du cœur qu'il nous sera possible de soutenir leurs espoirs scolaires et sportifs.

 
 
« Divulgation : je participe à la campagne de C.S.T. Consultants inc. : Au-delà de la ligne bleue, organisée par Mom Central Canada, et j’en retire quelques avantages. Les opinions exprimées sur ce blogue sont les miennes. »


jeudi 12 décembre 2013

Cadeaux de Noël

Puisqu'il faut se confesser et que ma journée s'est vouée à autre chose, je fais ça en vitesse ce soir.

Je semble être la seule d'après ce que je lis ces temps-ci mais je n'ai toujours aucun cadeau d'acheter et ce n'est pas dans mes plans pour la prochaine semaine. 

Les années m'ont appris que plus les achats sont faits à la dernière minute, mois ils se multiplient en trucs plus ou moins utiles. Moins ils ont de chances de tomber sous des petits yeux trop curieux aussi. 

Je sais ce que chacun de mes enfants aura. Si certaines choses commandées arrivent d'ici le 24, ça s'ajoutera sous le sapin sinon ce sera quand ce sera! 

Bon magasinage! 


100 Vues sur l'automne -89-

-89-
Prendre un peu d'air


mercredi 11 décembre 2013

100 Vues sur l'automne -88-

-88-
Glissade


Paroles d'enfants -13- Ambition

La Poulette s'est trouvée une nouvelle activité ces derniers temps. Elle regarde des compétitions de patinage de vitesse sur le iPad. Une vraie fixation. Si on ne l'arrête pas, c'est sans fin. Ce matin, elle regardait(encore) des extraits des jeux de Vancouver.
 
-"Maman?"
-"Oui ma poulette..."
-"Les olympiques c'est pour les adultes?"
-"Si on veut, c'est pour les gens assez grands pour faire partie des meilleurs au monde dans le sport qu'ils pratiquent."
-"Maman?"
-"Oui..."
-"Moi quand je vais être assez grande, je vais aller aux Olympiques en longue piste."
 
Je me dis qu'au minimum, j'aurais de la compagnie pour écouter les jeux en février!

100 Vues sur l'automne -87-

-87-
Soleil couchant d'hiver
 


lundi 9 décembre 2013

Mon classique pour les potlucks

Décembre avance doucement, on se rapproche du temps des fêtes et  je ne suis pas encore rendue là. Avec un automne qui s'est déroulé à vitesse grand V, j'avoue n'avoir qu'une seule envie, me déposer et prendre du temps doucement chez moi. Au jour le jour. Malgré mon envie de calme, les fêtes seront bientôt là avec leurs nombreux repas.
 
Le repas-partage, communément appelé potluck semble être de plus en plus populaire. La formule rend la chose simple pour tous, chacun y met du sien et personne n'y passe la journée. J'avoue, je trouve la formule assez agréable, c'est parfait pour clore une journée du temps des fêtes que l'on a passé à jouer dehors.
 
Je vous fait une confidence; je sais pas pourquoi mais j'ai vraiment en aversion la traditionnelle cuisine québécoise du temps des fêtes. Cipaille, tourtière, dinde, pâté au poulet ou à la viande...non merci. Je passe mon tour et ce du plus loin dont je me souviens.
 
Un de mes plats préférés pour un repas-partage, c'est la tartiflette. J'adore vraiment ce mets, je le trouve  parfait après une journée au froid et il s'utilise aussi bien comme repas principal que comme accompagnement. Un gros plus pour moi, il fait changement des classiques d'ici. Et, vous avez peu de chances d'avoir quatre convives qui ont fait ce plat!
 
Fidèle à mes habitudes, je n'ai pas de recette ultra précise et je modifie selon les ingrédients disponibles et mes envies du moment. Habituellement, j'utilise la pomme de terre Yukon Gold, un sac de 2,27kg. Je les faire bouillir dans de l'eau (très)salée. On peut les peler ou non, personnellement, je les préfère avec leur pelure. Une fois cuites, je les retire de l'eau et les laisse refroidir. Je fait ensuite revenir entre 300 et 400 grammes de lardons (on peut toujours utiliser du bacon mais des tranches de 1cm de pancetta coupées en cubes, c'est parfait!) avec un petit oignon coupé en vraiment petits morceaux.
 
Je coupe les pommes de terres en tranches minces et les dépose dans un plat de fonte émaillée ou de verre. Je les couvre ensuite d'environ le tiers du mélange de lardons et d'oignons et j'ajoute un peu de crème 35% (environ 100ml). Je fais trois étages selon cette méthode(mais bien sûr, le nombre d'étages va varier selon les dimensions du plat utilisé.). Sur le dernier étage, j'ajoute de la muscade moulue. Je coupe ensuite une meule de reblochon en tranches que je pose, croutes vers le haut sur la dernière rangée. Je verse entre une et deux tasse de vin blanc sur le tout. (Et comme j'aime quelques fois être concept, j'essaie d'en choisir un de Haute-Savoie puisque la tartiflette origine de là). Si c'est pour un repas-partage on peut soit la cuire chez-nous et la réchauffer une fois sur place, soit la cuire là-bas; au four, environ 30 minutes à 350. Il m'arrive quelques fois de mettre de cubes de brie entre les rangées de pommes de terre ou d'un autre fromage que j'ai sous la main.

Généralement, c'est un mets pas mal vendeur et ce autant auprès des adultes que des enfants. Et je vous fais une autre confidence, le lendemain matin, c'est super bon à la fourchette direct dans le plat qui est encore dans le frigo! ;-) Un mets délicieux que j'adore mais pas particulièrement santé, j'en conviens. Parfait pour le temps des fêtes quoi!
 
« Divulgation : je fais partie d’un programme Vivre délicieusement pour les blogueuses et, à ce titre, j’en retire quelques avantages. Les opinions émises sont les miennes. »

jeudi 5 décembre 2013

100 Vues sur l'automne -82-

-82-
Lionne


The Grinch

Je fais un confession éclair aujourd'hui parce que "the gastro is in the house"... J'ai bien fait ça, elle est débarquée en grand, parait-il, pendant que j'étais partie faire les courses. Mais La Poulette me tient pas mal occupée depuis mon retour.
 
Avec les lutins partout, j'ai presque l'impression que, The Grinch c'est moi. Pourtant, j'adore Noël et les décorations qui s'y rattachent. L'extérieur comme l'intérieur de la maison sont décorés. On écoute de la musique de Noël, on est dans l'ambiance et tout... Mais les lutins, je sais pas pourquoi, ça passe pas.
 
Les lutins qui font tous les mêmes coups, que tout le monde publient partout, il me laisse...bof. Juste bof. Pourquoi? Je sais pas. Remarquez que, souvent, quand je vois les coups des (trop?) nombreux lutins, je les trouve un peu trop soft. Dans ma tête, y'a tout un scénario de coup vraiment atroce que le lutin aurait du faire au lieu de salir un tout petit peu. Au fond, c'est peut-être pour ça que j'en veux pas de lutin. Les beaux exploits pendables, c'est bien moi qui les ramasseraient hein???
 
Pis comme j'ai quatre loups qui sont supers performants pour mettre le bordel dans notre maison, je me dis que le lutin c'est peut-être pas nécessaire...

100 Vues sur l'automne -81-

-81-
En attendant l'autobus


jeudi 28 novembre 2013

La journée parfaite

Aujourd'hui, c'était la journée des mille rendez-vous. Toutes la journée, les rencontres se sont succédées. Les gars étaient en congé cet après-midi, rencontre parents/enseignant obligent.
 
La journée s'est déroulée rapidement, dans une harmonie plus qu'appréciable. Une genre de journée parfaite. Pas de chialage ce matin. Tout le monde était dans les temps, pas de mitaine portée disparue. Les filles étaient de bonne humeur et collaboratrices. Ce midi, les enfants jouaient ensemble, ça riaient de bons cœurs sans débordement. S'en est suivi la rencontre avec les enseignants. Rencontres qui te gonflent l'ego de parent au maximum. Puis d'autres rencontres avec les enfants, en meute. À peine si j'ai a émettre un avertissement. T'sais, une journée parfaite?! Pendant que je préparais le souper les trois plus jeunes jouaient ensemble et le grand travaillait à l'ordi.
 
Vraiment, une journée parfaite. La journée qui te fait oublier les deux dernières semaines un peu plus so so. Une journée exactement comme celles que tu imagines AVANT d'avoir ton premier enfant. La journée qui te fait croire que tu l'as comme parent finalement. En me cherchant une confession, je me suis convaincue de confesser ma fierté d'avoir une si magnifique meute. J'ai vraiment passé une journée scénarisée par Disney.
 
J'ai vécu mon magnifique conte de fées jusqu'au moment où Z à eu envie d'aller s'asseoir dans l'armoire à vêtements de ses sœurs, chose formellement interdite. Le même qui à l'école est respectueux, à ses affaires, qui range tout, délicat avec les autres, qui prend soin du matériel. Vous savez; cet ange que j'ai conçu. Donc, s'asseoir dans l'armoire.  Oui, l'armoire achetée cet été chez un ébéniste du coin. Celle pour laquelle j'ai eu un gros coup de cœur, qui a un style antique. Si Z a des envies de s'asseoir, il a aussi des pulsions de karatéka pour ouvrir les portes. Pis une porte faites de pièces de bois collées, c'est pas fait pour les karatékas. BLEH!
 
Fait que ma journée parfaite s'est terminée dans une promesse d'offrir du shampooing, un morceau de gypse et de la colle à bois pour Noël.(ben oui, il n'y a pas que le bois qui ne lui résiste pas). Je me confesse, même quand j'étais tout petite, je ne croyais pas aux contes de fées.

lundi 25 novembre 2013

100 Vues sur l'automne -72-

-72-
Bonheur d'enfant 4


100 Vues sur l'automne -71-


-71-
 l'hiver qui débarque
 

Bagarreurs Inc? Bof...

J'ai tellement parlé des commotions dernièrement que je me voyais mal ne pas revenir sur le film  Bagarreurs Inc. diffusé hier soir à Canal D. Si vous l'avez manqué et que ça vous tente, c'est par ici.
 
Pour ma part, dans l'ensemble j'ai trouvé ça plutôt décevant. Peut-être que mes attentes n'étaient pas à la bonne place. J'avais un peu lu sur le film, on en disait que l'auteur voulait montrer la vie de bagarreur via l'acteur principal. Premièrement c'est pas mal plus via son père que par l'acteur principal mais au bout de deux heures, ici, notre constat: c'est pas mal vide de contenu.
 
L'impression majeur qui en ressort c'est le "Pauvre gamin pogné pour faire vivre à son père le rêve de sa vie par procuration." On a toujours l'impression que ça ne lui tente pas tant que ça le jeune. Le père par exemple... Ti-homme est blessé, il devra être opérer; réaction des parents; "ça nuirait pas à ton entraînement?" Ouf. Je sais, ce n'est pas le premier jeune dans ce cas et ce ne sera pas le dernier, mais je trouve ça déplorable. Dommage aussi qu'on en voit vraiment qu'un seul joueur.
 
Des filons très intéressants sont abordés mais très rapidement abandonnés. Le neuropsychologue aurait pu être très intéressant mais on a pas voulu aller dans ce sens. Mathias Brunet apporte le fait que des parents commencent à refuser d'inscrire leurs jeunes au hockey parce qu'ils craignent les impacts sur la santé de leurs enfants, c'est une menace à long terme pour le sport. Ça finit là. On exploite pas ça non plus. Ça me semblait pourtant un point pertinent à développer.
 
On a cru qu'on aurait la chance de voir des tests neurologiques avec André Roy(ex-bagarreur de la NHL), il sombre dans le déni et choisit de ne pas aller plus loin. Dommage, encore. Dommage aussi qu'on aborde pas plus le déni omni présent tout au long du reportage.
 
On a droit aussi à du grand Georges Laraque. Rien pour changer l'opinion que j'en avais. "Si vous aimez pas la bagarre, jouer à la pétanque". Les vrais hommes se battent à poings nus sur une patinoire quitte à être sénile trente ans avant le temps. De l'argumentaire d'une intelligence dure à définir...
 
Bref, un documentaire qui plaira et réconfortera les parents qui voient leurs retraites de rêves entre une paire de gants sur une glace et la sénilité précoce de leurs enfants. Un gros bof... Le neuropsychologue, Mathias Brunet et Dany Dubé aurait pu rendre ça autrement plus instructif.

samedi 23 novembre 2013

Paroles d'enfants -12-

L'homme et moi, on aime s'impliquer dans les activités des enfants. L'homme ayant un bon bagage comme entraîneur dans diverses disciplines sportives, il a décidé de s'impliquer de cette façon au patin.
 
Donc, à l'approche d'une compétition à venir, l'homme qui aime bien responsabiliser les jeunes(t'sais, on est pas ensemble pour rien) a dit aux enfants sur la patinoire quelque chose du genre :"Ceux qui participe à la compétition, dites à vos parents que vous devez être sur place, à l'aréna, pour 7h45".
 
La pratique se termine, je mets fin à mes échanges sociaux et me dirige vers le vestiaire. Je vous ai déjà dit que la Poulette est super fiable. Elle est responsable, s'occupe de ses choses et n'oublie jamais rien. Donc, j'arrive au vestiaire pour l'aider à enlever ses patins. Elle se précipite vers moi et me dit: "Maman, Papa a dit de ne pas oublier de te dire que c'était super important d'être arrivé à l'aréna à 7H45 pour la compétition."
 
Je sais pas si le message aurait pu se rendre autrement... :-)

vendredi 22 novembre 2013

100 Vues sur l'automne -69-

-69-
Jouer dehors: que du bonheur!


De la joie à partager

Quel parent ne veut pas inculquer le partage comme valeur fondamentale à ses enfants?
Je crois que de façon naturelle, certaines personnes sont plus enclines à penser aux autres. Zach en est certainement, sans trop qu'on sache pourquoi. Si on sort avec Zach, sa première réaction, c'est de penser aux autres, à ce qui ferait plaisir à son frère et ses sœurs. Par exemple, récemment au salon du livre, il a déniché des livres de princesses, de chats, de danse. Mis la main sur les Geronimo Stilton que son frère n'a pas encore mais quand on lui a fait remarquer que lui n'avait pas encore de livres et demandé ce qu'il voulait, il nous a répondu: "je sais pas, je n'ai pas encore regardé."
Je trouve important d'apprendre à mes enfants le partage. Quelques fois par an, on leur demande de choisir des jouets dans la salle de jeux pour donner à des amis ou lors de campagne pour les enfants défavorisés. C'est important pour nous qu'ils apprennent à "passer au suivant".
Forcément, vivre en meute force l'apprentissage du partage. C'est assez difficile d'avoir l'exclusivité sur une chose. Et on a toujours refuser qu'un jouet soit la propriété d'un enfant même si c'est un cadeau qu'il a reçu. On demande le respect des autres, de comprendre, par exemple, qu'il vient de le recevoir, qu'il va en profiter un peu et le partager ensuite. On explique dans l'autre sens, qu'ils ont aussi envie de jouer avec les cadeaux des autres, d'où l'importance de comprendre que frères et sœurs ont envie du jouet et de le partager. Mise à part quelques accrochages que nous jugeons normaux, ils apprennent après tout, ça se passe très bien.
On essaie aussi de leur montrer le partage du temps et des connaissances. On estime que ce bout là est tout aussi important. Donc, on demande au grand d'aider son frère dans ses devoirs et petits travaux. De prendre le temps de montrer à compter, de s'aider entre eux; d'aider à attacher les bottes, à zipper le manteau. On leur demande de participer quand les clubs où ils sont ont besoin de bénévoles pour des tâches qu'ils sont capables d'accomplir. C'est aussi ça donner au suivant. 
J'étais très heureuse, lors de la réception du premier arrivage d'œufs Kinder, de constater qu'un de leurs premiers réflexes, a été de demander s'ils pouvaient en donner à leurs amis. Ils étaient très heureux de faire la livraison le soir même au fur et à mesure que les amis arrivaient à l'activité où ils étaient. 
Souvent, le partage, c'est dans les choses simples. Ce week-end, nous prendrons le temps, avec chacun de nos enfants de faire une carte dans la cadre de la campagne De la joie à partager de Kinder ,qui pour la deuxième année s'associe au Réseau Enfants-Santé dans le cadre de cette campagne. Pour chacune des cartes de souhaits qui seront créées via la page Facebook de Kinder Canada,  1$ sera remis au Réseau Enfants-Santé. Vous pouvez vous aussi vous rendre sur leur page et les aider à atteindre leur objectif de remettre 25 000$ pour la période des fêtes. De plus, les 10 000 premières personnes à faire une carte de souhaits recevront un bon d'échange pour un emballage gratuit de Mini Eggs de Kinder.  La meute est impatiente d'aller créer des cartes!
J'espère que mes enfants sachent partager sans être naïfs. Qu'ils apprennent à faire la part des choses, à voir que sans tout avoir, ils sont choyés. Que certains le sont moins. Je veux aussi qu'ils sachent que semer le bonheur, ça rend heureux.

Mise à jour 2 novembre: Les coupons d'échanges se sont écoulés très rapidement mais ce matin 18 000$ étaient déjà amassés. Merci de quand même créer une carte et aider à atteindre l'objectif de 25 000$
« Divulgation : Je participe au programme des mamans de KinderMD et je reçois quelques avantages particuliers en échange. Les opinions exprimées sur ce blogue sont les miennes. »

jeudi 21 novembre 2013

100 Vues sur l'automne -68-

-68-
La cuisine c'est sérieux


L'éternel bébé

Je me suis toujours jurée que JAMAIS, au grand jamais, je ne ferais ça! Pas moi. Oh non...

Vous savez, ces parents qui traitent le petit dernier de la famille comme s'il avait éternellement 8 mois. J'avoue, ça m'a toujours irrité de voir ces parents volontairement bloquer l'autonomie des enfants et refuser systématiquement de les voir vieillir. Ça m'irrite encore d'ailleurs. Si certains l'admettent même avec plaisir, pour d'autres c'est plus sournois. On le gâte un peu plus. C'est facile de succomber, il n'y en a pas d'autres qui poussent derrière et qui ont besoin d'aide. 

Oui, je fais un peu partie de cette deuxième catégorie de parents et je me bats contre moi-même au sujet de ce point sur une base quotidienne. Je m'étais jurée de ne jamais être comme ça et je me parle fort pour y arriver, croyez-moi!

On revient à la maison en voiture, je détache la Lionne de son siège: "Maman, dans tes bras". Faut que je me parle! Elle aura bientôt 3 ans, à son âge, grand garçon avait un frère et une sœur plus jeunes,  ça faisait un bon bout qu'il avait oublié que les bras de maman peuvent substituer ses deux pattes! Je pourrais citer plein d'exemples de ce genre. Quelques fois, j'essaie de me consoler justifier, à me disant qu'avec quatre enfants arrivés en quatre ans et demi, c'est les plus vieux qui ont été poussés à l'autonomie tôt plutôt que la Lionne qui est traitée en bébé. Inquiétez-vous pas, je sais que j'ai tord. 

Il y a deux semaines c'était l'inscription pour sensa(genre de pré-maternelle, qui fonctionne selon 2 niveaux en fonction des groupes d'âges) en janvier. En renouvelant l'inscription de Poulette, j'ai mentionner à l'enseignante en charge que si une place se libérait dans un groupe 3 ans, de nous en informer. Bonheur( ou malheur, je sais pas trop) elle m'a informé en début de semaine que c'était le cas. Ma première réponse "ok, on en parle et je te confirme ça d'ici la semaine prochaine, je sais pas si elle est vraiment rendue là". Je ne me suis pas laissée aller trop longtemps, 10 secondes plus tard je me suis reprise: "non, non. S'il y a une place, on la prend. La vérité c'est que c'est moi qui n'est pas rendue là. Elle est certainement pas pire que les 3 autres à cet âge!". Parole sur laquelle elle a éclaté de rire pour me répondre: "c'est toujours plus dur avec les petits derniers! Je suis passée par là!"

Ce n'est pas facile de l'admettre mais le syndrome de l'éternel bébé me guette de près. Je fais tout ce que je peux pour me traiter... Et j'évite de penser que l'an prochain, j'aurai déjà deux demi-journées où je serai seule avec moi-même. Pas que je j'ai peur de ne pas savoir m'occuper mais hier j'avais quatre bébés ici avec moi!

Ça sévit aussi chez vous?

mercredi 20 novembre 2013

100 Vues sur l'automne - 66 & 67 -

-66-
Jouer dehors
 
-67-
Douche
 


Recevoir en simplicité

Mine de rien, lentement, on commence à penser aux temps des fêtes. À s'organiser.
 
Ici, on adore recevoir des invités et remplir la maison. J'adore aussi cuisiner. Mais je déteste passer la soirée à la cuisine plutôt qu'avec les invités. J'essaie donc de choisir mes menus en fonction du nombres d'invités et de pouvoir aussi profiter de la soirée.
 
Un des classiques du temps de fêtes chez nous, c'est la choucroute. C'est le mets parfait pour recevoir plusieurs personnes sans passer la journée à cuisiner et pour passer la soirée avec eux. Chaque année, on invite une grosse gang et on se fait une délicieuse choucroute.
 
La recette est très approximative. On compte habituellement 3-4 saucisses Européennes par invité. On évite les saucisses de supermarché, on se trouve un bon saucissier et on essaie! Idéalement, juste assez de variété pour que les invités puissent essayer plusieurs sortes et que ça suscite les discussions. Mon expérience m'a apprise qu'avec trop de variétés, les convives sont déçus de ne pouvoir goûter ce qui se retrouve dans l'assiette du voisin!
 
Je fais griller légèrement les saucisses sur le BBQ (oui, même en hiver) environ 6 ou7 heures avant le repas. Je les coupe en 2, et les dépose dans un grand chaudron avec le chou. (Ici, on a la chance de trouver de la Choucroute Tapp. Produit à Ste-Anne-Des-Monts, elle est macérée au sel de mer. C'est vraiment délicieux!). Je calcule environ une tasse de choucroute par personne. J'ajoute quelques patates pelées et coupées en gros morceaux, quelques clous de girofle et je remplis le chaudron de bière afin de recouvrir le tout.(Ici, on a un faible pour la bière allemande, ça se trouve facilement à la SAQ). On porte à ébullition et diminue à feu doux. Il faut s'assurer que ça mijote en tout temps. On doit également aller vérifier régulièrement(une fois par heure) que le niveau de bière ne diminue pas trop. On en ajoute au besoin. On laisse mijoter comme ça environ 6 heures.(au minimum 5 heure et demie). Quand c'est prêt, on dépose dans de grands plats de service au milieu de la table et les gens se servent. On l'accompagne avec de la bière ou un classique Gewürztraminer. Il  n'y a pas de meilleur vin pour aller avec une choucroute.
 
La choucroute est un mets qui s'apprivoise. Les enfants sont quelques fois réticents les premières fois mais en leur servant que des saucisses et des patates, ont s'en sort parfaitement. Il faut simplement le prévoir en planifiant les quantités de saucisses nécessaires.
 
Si vous avez envie de pousser l'expérience choucroute un peu plus loin, vous pouvez aussi l'ajouter au dessert. Bien que ça semble un peu étrange, c'est vraiment excellent. Partez de votre recette de gâteau au chocolat préféré(celui-ci par exemple  ou celui de Ricardo dans le livre La chimie des desserts). Une fois le mélange à gâteau prêt avant de le déposer dans le moule, on passe une tasse et demie de choucroute sous l'eau à l'aide d'un tamis. Il faut s'assurer que ce soit très bien égoutté. On ajoute la choucroute au mélange et dépose le tout dans le moule, simplement. Garnir le gâteau d'un glaçage au chocolat.  C'est exquis! Osez l'expérience, vous ne le regretterez pas.
 
Le parfait souper des fêtes; convivial et simple!
 
« Divulgation : je fais partie d’un programme Vivre délicieusement pour les blogueuses et, à ce titre, j’en retire quelques avantages. Les opinions émises sont les miennes. »

mardi 19 novembre 2013

Je deteste le latte froid

Quand on décide d'avoir des enfants, on se renseigne le plus possible. Force est d'admettre qu'on a beau se renseigner sur un tas de choses, il y a toujours des avertissements qui ne sont pas donnés nul part!
 
J'avais certes lu que le premier trimestre était quelques fois accompagné de nausées. Par contre, je n'ai lu nul part que j'étais pour vomir à chaque demi-heure de la journée, que je finirais par manger à temps plein parce que ça fait moins mal quand on a quelque chose dans le ventre et que ça durerait quarante semaines. Fois quatre.
 
J'avais lu qu'on risquait d'avoir des pertes urinaires. Mais je n'ai vu nul part l'effet qu'aurait mon rapprochement avec la toilette sur ces pertes. Bleh!
 
On nous dit que les bébés ne font pas leurs nuits(et encore, selon plusieurs lectures on pourrait s'attendre à dormir le premier mois passé. Hum, hum...) mais rarement que la femme enceinte à tendance à ne plus le faire au fur et à mesure que la grossesse avance.
 
Une autre surprise que j'ai eu avec les grossesses, c'est la sensibilité dentaire. Je n'avais vraiment jamais connu ça avant. Enceinte de grand garçon, je me suis rendue compte qu'il était possible d'éprouver des sensations aux dents. C'est parti comme c'est venu une fois grand garçon dans les bras. C'est revenu pendant la grossesse du tannant. Cette fois, c'est passé de sensations à sensations désagréables. Et c'est repartie. Enceinte de Poulette, la douleur s'est repointé mais cette fois là assez pour changer de dentifrice et en parler au dentiste. La surprise, ce n'est pas reparti. Cela s'est atténué mais c'est resté. Quand la Lionne était à l'usine ça a repris de l'ampleur et c'est resté. Tout à fait resté...non. En fait, c'est par vague. Des bouts de temps ça s'endure bien, d'autres c'est plus déplaisant. C'est assez présent pour que j'utilise un dentifrice conçu pour combattre la chose à temps plein. 
 
Quand on m'a proposé de participer à la campagne pour blogueuse de Colgate Sensitive Pro-Relief j'ai tout de suite accepté. Dans les périodes où c'est plus douloureux, j'ai tendance à partir à la recherche du produit le plus efficace. Donc, j'essaie pas mal tous les produits à un moment ou un autre.
 
Le campagne tombe à point puisque depuis quelques temps, c'est pire. J'ai l'habitude de prendre mon latte le matin, en lisant le journal. Depuis quelques semaines, je le terminait non tiède mais vraiment froid. Le pot de crème glacé au congélateur depuis quelques semaines indique bien la présence du problème lui aussi! (mon plaisir coupable de fin de soirée, un bol de crème glacé vanille avec un espresso coulé dessus. Miam!). C'est le moment parfait de relever le défi pour moi!
 
Et je vous avoue que si j'avais trouvé LE dentifrice qui règle mon problème à long terme, j'en serais très heureuse. J'ai délaissé ma marque habituelle pour Colgate Sensitive Pro-Relief il y a maintenant 5 jours. Comme il est conçu pour couvrir et réparer les dents sensibles à long terme(en l'utilisant régulièrement, bien sûr!) j'ai espoir. Je dois dire que dans les cinq derniers jours, la "crise" qui empirait sans cesse dans les deux dernières semaines s'est calmée pas mal. Plutôt que d'agir au niveau du nerf de la dent par l'action du nitrate de potassium, Colgate Sensitive Pro-Relief bouche et scelle les tubules dentaires ce qui à long terme créerait un bouclier contre la sensitivité. La dentisterie, c'est pas du tout mon domaine mais pour l'instant mes dents se portent mieux donc j'aime!
 
Vous souffrez du même problème que moi? Vous avez envie de relever vous aussi le défi? Allez vous inscrire sur le site de Colgate Sensitive Pro-Relief pour obtenir un échantillon du dentifrice et 1$ de rabais à l'achat de votre prochain tube.(un seul par ménage). On suggère de masser les dents sensibles directement avec le dentifrice pendant une minute et d'essayer de consommer un aliment habituellement problématique. Je peux vous dire que j'ai terminé mes latte chauds ces trois derniers jours! J'ai aussi savourer le fait de les boire sans sensations désagréables. Un petit moment de bonheur.  De plus, en allant par la suite évaluer en ligne le produit, vous courrez la chance de gagner une cafetière Nespresso® U-Pure orange et un panier-cadeau contenant des produits Colgate Sensitive Pro-Relief pour toute une année.
 
Ce soir, je m'attaque à la crème glacée!
 
« Divulgation : Je participe à la campagne des blogueuses pour Colgate Sensitive Pro-Relief organisée par Mom Central Canada et j’en retire quelques avantages. Les opinions exprimées sur ce blogue sont les miennes. »
 
 

lundi 18 novembre 2013

100 Vues sur l'automne -65-

-65-
Spinning version enfant


100 Vues sur l'automne -64-

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ooooooaaaaaaah!


100 Vues sur l'automne -63-

-63-
Route

Dossier commotion...encore

Ce matin, je récidive et jase encore des commotions cérébrales dans le sport. Il y avait dans LaPresse+  un super dossier ce matin.
 
Dossier qui rappelle l'urgence d'agir. Si quelques sports semblent vouloir se prendre en mains, d'autres sont vraiment dans le déni. Et même chez les sports qui veulent se prendre en main, je me questionne. Les fédérations pondent de biens beaux programmes, de magnifiques documents de références, ils mettent le tout en lien sur leurs sites web ou envoie les bons de commandes dans les clubs quand ils les lancent, mais après? Quel est l'impact auprès des clubs? Des entraîneurs? Des parents? Les athlètes sont-ils vraiment (mieux) pris en mains? Ce n'est certainement pas pire que c'était, le fait que ces programmes existent est un pas vers l'avant, je ne peux pas le nier mais le pas est gêné et minuscule. Le sport est un magnifique moteur de développement global pour tout être humain mais il faudrait sérieusement conscientiser les acteurs qui y prennent part.  
 
De voir des Gary Bettman minimiser les conséquences et ce qui se passe dans sa ligue, de voir même les joueurs dirent que les bagarres sont essentielles, c'est impensable. Non seulement il est question de l'état de santé des joueurs mais ils sont aussi le modèle pour des milliers de jeunes; si les pros n'ont pas en s'en soucier, pourquoi eux le feraient? Entendre des parents de jeunes adolescents dirent que "ça fait partie de la game", ça me tord les tripes. Ça fait peut-être effectivement partie de la game pour l'instant mais c'est une situation inacceptable. Jamais la rupture de l'intégrité physique et mentale des enfants devraient être acceptée. Les parents devraient être les premiers à dénoncer la situation.
 
Les statistiques sur les commotions cérébrales font peur. Ce serait 90% des jeunes qui cachent leurs symptômes. J'ai vu des jeunes se pratiquer à n'avoir aucune réaction sur les mouvements douloureux devant un miroir, avant un rendez-vous chez le médecin pour que le retour au jeu soit autorisé. J'en ai vu ne pas dire qu'ils se sont disloqué l'épaule pendant un match pour ne pas manquer le prochain. Quand c'est une blessure qui ne se voit pas, j'ose pas imaginer à quel point ça doit bien se cacher. Un coup au corps au football peut être de 150G! Une force rotationnelle  de 2000 degrés à la seconde! (C'est quand même une tête qui fait plus de 5 tours en une seconde). Tout ça, c'est le cerveau qui l'encaisse.
 
C'est difficile de ne pas parler de Georges St-Pierre en abordant les commotions cérébrales aujourd'hui. D'emblée, j'avoue que j'ai énormément de difficultés à comprendre l'intérêt que les combats ultimes suscite. Oui, GSP est un athlète hors du commun. C'est indéniable. Mais ce sport... Je ne vois pas où sont les valeurs sportives et l'éthique dans un sport où le seul objectif est de détruire l'autre. Je ne comprends pas le plaisir de regarder quelqu'un se faire rentrer dedans à ce point. Quand je jette un œil, la seule chose que je vois c'est les blessures et les conséquences à long terme.  Les commentaires des amateurs me choquent profondément. Je cherche le respect de l'être humain et je ne le trouve pas. J'irais même jusqu'à dire que je ne comprends pas que ce gars-là pratique ce sport. Malheureusement, il est passé d'être humain à outil marketing. Et il y a visiblement consenti. Quand Dana White, président de la UFC, déclare que GSP ne peut pas se retirer, que ça ne marche pas comme ça. Clairement, il perd sa vache à lait et cela l'enrage. Il se fou éperdument, de l'être humain derrière. Pourtant GSP démontre des signes évidents de commotions multiples. Le reste de sa vie sera quoi? Oui, il a de l'argent mais son avenir sera comment, dans quel état va-t-il finir ses jours? Il n'y a rien pour justifier ça, selon moi.  C'est un gros problème quand de Bettman et White pensent à remplir leurs poches sans considération pour les personnes que sont les athlètes qui travaillent pour leurs organisations. Malheureusement, leurs produits, ce ne sont pas des chaises ou des boites de crayons. Les intérêts  des athlètes devraient être à l'avant plan plutôt que cachés sous le tapis.
 
Aujourd'hui, je vais aller me procurer le volume de Dave Ellemberg, Les commotions cérébrales dans le sport-Une épidémie silencieuse, paru récemment. J'ai très hâte de le lire. Sans aucun doute, je vous reviendrai sur mes lectures. Ce soir, je vais discuter avec mes comparses de la mise sur pied d'un plan de prévention et de retour au sport lié aux commotions cérébrales pour notre club, ça aussi j'ai bien l'intention de vous en reparler, quand le projet sera plus élaboré. 

vendredi 15 novembre 2013

Service à la clientèle

J'aime pas ben gros le magasinage, c'est un fait. 

Mardi, Z a accidentellement brisé un clip sur sa bottine de patin. Aujourd'hui, la mission que je m'étais donnée, c'était de trouver un clip neuf. 

Quelques fois, il y a un espèce de monde parallèle dans ma tête, quand j'entre en contact avec les autres. Tout ce qui se passe par la tête et que j'ai appris à taire.(certaines fois moins que d'autres mais je m'améliore vraiment beaucoup avec l'âge.) 
Ge entre donc dans la boutique du seul ex-fabricant Québécois de bottine.

Gentille étudiante au comptoir:"bonjour! Je peux vous aider?"
Moi: "bonjour! Je cherche un clip comme celui-ci, vous en avez en main?"
GEAC: "sûrement. (Elle cherche un peu) je m'informe à ma gérante. Mais on devrait en avoir"

Gérante qui arrive:"sur une bottine de patin, c'est bizarre on a jamais fait ça nous"
Moi: " ha, ben là je vous informe que j'en ai pourtant acheté une paire."
Dans ma tête: (Hum... Sur votre site internet pas à jour, il y en a encore)
Gérante: "vous en avez vraiment besoin?"
Moi:"oui"
DMT (non. Mais c'est mon passe-temps préféré. Je parcours le Quebec à la recherche de clips qui vont sur des bottines de patins qui ne se produisent plus)
Gérante:"vous voulez vraiment que je vous en cherche un?"
Moi:"oui"
Elle; hyper mega soupir. 
(Oui, j'en veux un cr*ss* de clip. J'ai acheté des bottines que vous détailliez 400$, mon fils les a mises 3 mois et le clip a cassé. Fait que oui, je veux que tu me trouve un clip pour qu'il puisse attacher ses bottines)

Gérante après son appel:"là madame, je vais être obligée d'aller le chercher à l'usine votre clip" d'un ton frustré. 
Moi: "ok"
(Quesse tu veux que ça me fasse? L'usine elle est à 50 pieds de la porte à côté de toi. Juste le temps que ça a pris pour faire tout tes soupirs depuis que je suis ici, tu serais allée 3 fois aller-retour)

Finalement, pendant que je regardais autre chose, gentille étudiante est venue me dire qu'elle avait mon clip, qu'il est exactement comme l'autre et qu'elle est heureuse d'avoir pu m'aider. 
Moi: merci vraiment beaucoup.
(Au moins, y'a une personne ici qui a compris sa job et elle est sympathique en prime)

Sérieusement, gérante dans une boutique, le service à la clientèle, c'est ta job. Forces-toi un peu. C'est une expérience très décevante, d'autant plus que c'est un fabricant québécois, dans le meilleur des mondes, j'aimerais ça avoir envie de l'encourager. 

Et juste avant, on était passé chez Apogee Sports. La dame sur place était extrêmement sympathique. Un super service. On y retournera(ou/et on saura quoi commander)...

jeudi 14 novembre 2013

100 Vues sur l'automne -61-

-61-
Vouloir être grande avant son tour


100 Vues sur l'automne -60-

-60-
Fusion


Confession je me moi

Je vais rester dans mon "je, me, moi" d'hier et vous faire une confession qui ne concerne que moi aujourd'hui.
 
C'est assez clair, je crois, j'adore la photo. Mon frère m'a introduit à ce bonheur j'étais encore jeune. J'ai appris les joies de la chambre noire dans celle qu'il avait "patentée"  sous l'escalier du sous-sol de la maison de ma mère, je n'avais pas encore 12 ans. J'ai passé pas mal de temps de celle de a polyvalente, remise sur pied par quelques copines et moi.(ben oui, il n'y avait pas de gars de ce club de photos???)
 
Quand j'ai décidé où me diriger au cegep, le programme de photo à Matane me tentait pas mal mais j'avais en tête l'idée de "bien gagner ma vie". (oui, je sais: j'ai abouti en activités physiques à l'université, pas diable mieux, hein!?")
 
Depuis un certain temps, comprendre plusieurs années, je rêvasse de me lancer, comme photographe lifestyle. De façon sporadique, des gens me demandent si j'accepterais de faire des sessions avec eux, chose que j'accepte toujours.
 
Ma confession, c'est mon intention de me lancer, à court-moyen terme. Je ne rêve pas d'en faire un occupation à temps plein mais plutôt de pousser l'aventure et le défi un peu plus loin. Pourquoi je m'en confesse? Parce que ça fait des années que je me dis qu'éventuellement je le ferai. Et je le fais pas. En parler ici, c'est un peu me mettre l'obligation de faire aboutir le projet, maintenant que pas mal de gens seront au courant...
 


mercredi 13 novembre 2013

100 Vues sur l'automne -59-

-59-
Nouvelle meilleure place pour relaxer

Un peu de moi

Un peu de moi. Un peu de moi parce qu'aujourd'hui, je tourne autour de moi. C'est assez rare ici. Habituellement, je tourne autour de ma meute, mes photos, du sport mais pas de moi.
 
J'étais un peu moins ici dernièrement.
 
Je travaillais fort, avec une fabuleuse équipe, afin d'organiser une fin de semaine de compétition. Ça a souvent l'air de pas grand chose de l'extérieur les évènements sportifs mais quand on est déjà passé par là, on sait.
 
On sait que pendant le parcours, on a envie tellement de fois de laisser tomber. On pense à ceux qui nous accompagne (si bien), on retrousse nos manches et on repart. On se promet que c'est la dernière fois. On se demande pourquoi on se retrouve encore là, en pensant à toutes les fois où on s'est promis de ne plus jamais recommencer. Et on se jure que cette fois, c'est la dernière. On se dit que, on a compris, qu'on ne se fera plus jamais reprendre. Puis, on arrive à la fin. On est fébrile. Ça part.(enfin). On est brûlé raide, c'est à peine terminé qu'on a envie de recommencer. On sait bien trop, que malgré les (fausses) promesses, on va le refaire. Qu'au fond, on carbure un peu (pas mal) à ça. Qu'au fond, le feeling, c'est un peu le même que quand on est sur la ligne de départ...
 
Au fond, l'habitude de s'impliquer remonte souvent à loin. J'étais déjà comme ça au primaire. Ça ne m'a jamais quitté. Être spectateur, je n'ai pas ça dans le sang. J'ai besoin d'être dans l'action. Et les gens dans l'action, je pense qu'ils le sont toute leur vie.
 
On est dans le après. Lundi matin, un tapis blanc nous attendait dehors. Je l'ai pris un peu personnel. C'est comme si la vie me disait "Good job Ge. Vous avez travaillés forts, ça bien été, je te gâte un peu et j'installe l'hiver doucement". Bref, un retour en douceur dans notre routine. Un matin apaisant. J'étais heureuse et les enfants aussi.
 
Tout ça pour dire que depuis une semaine, j'ai très envie d'écrire ici mais je cherche les mots. Plutôt le sujet. Je regarde l'écran blanc puis clique sur le X parce qu'en bout de ligne, je ne trouve pas quoi dire. Pourtant, ça me tente tant de poser mes  mots ici. Mais je les trouve pas. Ou les évite, je sais pas. J'ai décidé d'écrire ce qui me tourne en tête chaque fois que je regarde l'écran blanc. En me disant qu'une fois que je l'aurai rempli, les mots y seront à nouveau.
 
On a aussi terminé le soccer la semaine dernière. J'en ai même pas parlé ici mais on était somme toute contents. J'ai apprécié parce que  mon tannant à voulu s'inscrire mais surtout parce qu'il a participé, il s'est mêlé au groupe sans problème.  Cet automne, mon tannant est passé par dessus sa gêne. Le soccer à aidé. Juste pour ça, ça valait le coup. Grand garçon lui, avait hâte que ça finisse. Il adore le soccer, mais a clairement avouer détester jouer au soccer en manteau d'hiver et en tuque. Le soccer, c'est en culotte courte pour lui. Et franchement, à  7 ans, je trouve que c'est bien de ne pas pratiquer un sport à l'année longue, de pouvoir varier. Bien mentalement, mais bien au niveau du développement moteur aussi. Dommage que les clubs et associations voient souvent ça autrement.
 
Ben voilà, cette semaine, on s'est reposés, on a retrouvé notre petite routine tranquille. Là je prends le temps de vous retrouver et demain je serai ici pour me confesser! ;)
 
 

dimanche 10 novembre 2013

100 Vues sur l'Automne 55, 56 et 57

-55-
P'tit clown
 
 
-56-
Compé provinciale.
Le fruit "d'un peu" de travail
Émile
 
 
-57-
Claudia