jeudi 28 novembre 2013

La journée parfaite

Aujourd'hui, c'était la journée des mille rendez-vous. Toutes la journée, les rencontres se sont succédées. Les gars étaient en congé cet après-midi, rencontre parents/enseignant obligent.
 
La journée s'est déroulée rapidement, dans une harmonie plus qu'appréciable. Une genre de journée parfaite. Pas de chialage ce matin. Tout le monde était dans les temps, pas de mitaine portée disparue. Les filles étaient de bonne humeur et collaboratrices. Ce midi, les enfants jouaient ensemble, ça riaient de bons cœurs sans débordement. S'en est suivi la rencontre avec les enseignants. Rencontres qui te gonflent l'ego de parent au maximum. Puis d'autres rencontres avec les enfants, en meute. À peine si j'ai a émettre un avertissement. T'sais, une journée parfaite?! Pendant que je préparais le souper les trois plus jeunes jouaient ensemble et le grand travaillait à l'ordi.
 
Vraiment, une journée parfaite. La journée qui te fait oublier les deux dernières semaines un peu plus so so. Une journée exactement comme celles que tu imagines AVANT d'avoir ton premier enfant. La journée qui te fait croire que tu l'as comme parent finalement. En me cherchant une confession, je me suis convaincue de confesser ma fierté d'avoir une si magnifique meute. J'ai vraiment passé une journée scénarisée par Disney.
 
J'ai vécu mon magnifique conte de fées jusqu'au moment où Z à eu envie d'aller s'asseoir dans l'armoire à vêtements de ses sœurs, chose formellement interdite. Le même qui à l'école est respectueux, à ses affaires, qui range tout, délicat avec les autres, qui prend soin du matériel. Vous savez; cet ange que j'ai conçu. Donc, s'asseoir dans l'armoire.  Oui, l'armoire achetée cet été chez un ébéniste du coin. Celle pour laquelle j'ai eu un gros coup de cœur, qui a un style antique. Si Z a des envies de s'asseoir, il a aussi des pulsions de karatéka pour ouvrir les portes. Pis une porte faites de pièces de bois collées, c'est pas fait pour les karatékas. BLEH!
 
Fait que ma journée parfaite s'est terminée dans une promesse d'offrir du shampooing, un morceau de gypse et de la colle à bois pour Noël.(ben oui, il n'y a pas que le bois qui ne lui résiste pas). Je me confesse, même quand j'étais tout petite, je ne croyais pas aux contes de fées.

lundi 25 novembre 2013

100 Vues sur l'automne -72-

-72-
Bonheur d'enfant 4


100 Vues sur l'automne -71-


-71-
 l'hiver qui débarque
 

Bagarreurs Inc? Bof...

J'ai tellement parlé des commotions dernièrement que je me voyais mal ne pas revenir sur le film  Bagarreurs Inc. diffusé hier soir à Canal D. Si vous l'avez manqué et que ça vous tente, c'est par ici.
 
Pour ma part, dans l'ensemble j'ai trouvé ça plutôt décevant. Peut-être que mes attentes n'étaient pas à la bonne place. J'avais un peu lu sur le film, on en disait que l'auteur voulait montrer la vie de bagarreur via l'acteur principal. Premièrement c'est pas mal plus via son père que par l'acteur principal mais au bout de deux heures, ici, notre constat: c'est pas mal vide de contenu.
 
L'impression majeur qui en ressort c'est le "Pauvre gamin pogné pour faire vivre à son père le rêve de sa vie par procuration." On a toujours l'impression que ça ne lui tente pas tant que ça le jeune. Le père par exemple... Ti-homme est blessé, il devra être opérer; réaction des parents; "ça nuirait pas à ton entraînement?" Ouf. Je sais, ce n'est pas le premier jeune dans ce cas et ce ne sera pas le dernier, mais je trouve ça déplorable. Dommage aussi qu'on en voit vraiment qu'un seul joueur.
 
Des filons très intéressants sont abordés mais très rapidement abandonnés. Le neuropsychologue aurait pu être très intéressant mais on a pas voulu aller dans ce sens. Mathias Brunet apporte le fait que des parents commencent à refuser d'inscrire leurs jeunes au hockey parce qu'ils craignent les impacts sur la santé de leurs enfants, c'est une menace à long terme pour le sport. Ça finit là. On exploite pas ça non plus. Ça me semblait pourtant un point pertinent à développer.
 
On a cru qu'on aurait la chance de voir des tests neurologiques avec André Roy(ex-bagarreur de la NHL), il sombre dans le déni et choisit de ne pas aller plus loin. Dommage, encore. Dommage aussi qu'on aborde pas plus le déni omni présent tout au long du reportage.
 
On a droit aussi à du grand Georges Laraque. Rien pour changer l'opinion que j'en avais. "Si vous aimez pas la bagarre, jouer à la pétanque". Les vrais hommes se battent à poings nus sur une patinoire quitte à être sénile trente ans avant le temps. De l'argumentaire d'une intelligence dure à définir...
 
Bref, un documentaire qui plaira et réconfortera les parents qui voient leurs retraites de rêves entre une paire de gants sur une glace et la sénilité précoce de leurs enfants. Un gros bof... Le neuropsychologue, Mathias Brunet et Dany Dubé aurait pu rendre ça autrement plus instructif.

samedi 23 novembre 2013

Paroles d'enfants -12-

L'homme et moi, on aime s'impliquer dans les activités des enfants. L'homme ayant un bon bagage comme entraîneur dans diverses disciplines sportives, il a décidé de s'impliquer de cette façon au patin.
 
Donc, à l'approche d'une compétition à venir, l'homme qui aime bien responsabiliser les jeunes(t'sais, on est pas ensemble pour rien) a dit aux enfants sur la patinoire quelque chose du genre :"Ceux qui participe à la compétition, dites à vos parents que vous devez être sur place, à l'aréna, pour 7h45".
 
La pratique se termine, je mets fin à mes échanges sociaux et me dirige vers le vestiaire. Je vous ai déjà dit que la Poulette est super fiable. Elle est responsable, s'occupe de ses choses et n'oublie jamais rien. Donc, j'arrive au vestiaire pour l'aider à enlever ses patins. Elle se précipite vers moi et me dit: "Maman, Papa a dit de ne pas oublier de te dire que c'était super important d'être arrivé à l'aréna à 7H45 pour la compétition."
 
Je sais pas si le message aurait pu se rendre autrement... :-)

vendredi 22 novembre 2013

100 Vues sur l'automne -69-

-69-
Jouer dehors: que du bonheur!


De la joie à partager

Quel parent ne veut pas inculquer le partage comme valeur fondamentale à ses enfants?
Je crois que de façon naturelle, certaines personnes sont plus enclines à penser aux autres. Zach en est certainement, sans trop qu'on sache pourquoi. Si on sort avec Zach, sa première réaction, c'est de penser aux autres, à ce qui ferait plaisir à son frère et ses sœurs. Par exemple, récemment au salon du livre, il a déniché des livres de princesses, de chats, de danse. Mis la main sur les Geronimo Stilton que son frère n'a pas encore mais quand on lui a fait remarquer que lui n'avait pas encore de livres et demandé ce qu'il voulait, il nous a répondu: "je sais pas, je n'ai pas encore regardé."
Je trouve important d'apprendre à mes enfants le partage. Quelques fois par an, on leur demande de choisir des jouets dans la salle de jeux pour donner à des amis ou lors de campagne pour les enfants défavorisés. C'est important pour nous qu'ils apprennent à "passer au suivant".
Forcément, vivre en meute force l'apprentissage du partage. C'est assez difficile d'avoir l'exclusivité sur une chose. Et on a toujours refuser qu'un jouet soit la propriété d'un enfant même si c'est un cadeau qu'il a reçu. On demande le respect des autres, de comprendre, par exemple, qu'il vient de le recevoir, qu'il va en profiter un peu et le partager ensuite. On explique dans l'autre sens, qu'ils ont aussi envie de jouer avec les cadeaux des autres, d'où l'importance de comprendre que frères et sœurs ont envie du jouet et de le partager. Mise à part quelques accrochages que nous jugeons normaux, ils apprennent après tout, ça se passe très bien.
On essaie aussi de leur montrer le partage du temps et des connaissances. On estime que ce bout là est tout aussi important. Donc, on demande au grand d'aider son frère dans ses devoirs et petits travaux. De prendre le temps de montrer à compter, de s'aider entre eux; d'aider à attacher les bottes, à zipper le manteau. On leur demande de participer quand les clubs où ils sont ont besoin de bénévoles pour des tâches qu'ils sont capables d'accomplir. C'est aussi ça donner au suivant. 
J'étais très heureuse, lors de la réception du premier arrivage d'œufs Kinder, de constater qu'un de leurs premiers réflexes, a été de demander s'ils pouvaient en donner à leurs amis. Ils étaient très heureux de faire la livraison le soir même au fur et à mesure que les amis arrivaient à l'activité où ils étaient. 
Souvent, le partage, c'est dans les choses simples. Ce week-end, nous prendrons le temps, avec chacun de nos enfants de faire une carte dans la cadre de la campagne De la joie à partager de Kinder ,qui pour la deuxième année s'associe au Réseau Enfants-Santé dans le cadre de cette campagne. Pour chacune des cartes de souhaits qui seront créées via la page Facebook de Kinder Canada,  1$ sera remis au Réseau Enfants-Santé. Vous pouvez vous aussi vous rendre sur leur page et les aider à atteindre leur objectif de remettre 25 000$ pour la période des fêtes. De plus, les 10 000 premières personnes à faire une carte de souhaits recevront un bon d'échange pour un emballage gratuit de Mini Eggs de Kinder.  La meute est impatiente d'aller créer des cartes!
J'espère que mes enfants sachent partager sans être naïfs. Qu'ils apprennent à faire la part des choses, à voir que sans tout avoir, ils sont choyés. Que certains le sont moins. Je veux aussi qu'ils sachent que semer le bonheur, ça rend heureux.

Mise à jour 2 novembre: Les coupons d'échanges se sont écoulés très rapidement mais ce matin 18 000$ étaient déjà amassés. Merci de quand même créer une carte et aider à atteindre l'objectif de 25 000$
« Divulgation : Je participe au programme des mamans de KinderMD et je reçois quelques avantages particuliers en échange. Les opinions exprimées sur ce blogue sont les miennes. »

jeudi 21 novembre 2013

100 Vues sur l'automne -68-

-68-
La cuisine c'est sérieux


L'éternel bébé

Je me suis toujours jurée que JAMAIS, au grand jamais, je ne ferais ça! Pas moi. Oh non...

Vous savez, ces parents qui traitent le petit dernier de la famille comme s'il avait éternellement 8 mois. J'avoue, ça m'a toujours irrité de voir ces parents volontairement bloquer l'autonomie des enfants et refuser systématiquement de les voir vieillir. Ça m'irrite encore d'ailleurs. Si certains l'admettent même avec plaisir, pour d'autres c'est plus sournois. On le gâte un peu plus. C'est facile de succomber, il n'y en a pas d'autres qui poussent derrière et qui ont besoin d'aide. 

Oui, je fais un peu partie de cette deuxième catégorie de parents et je me bats contre moi-même au sujet de ce point sur une base quotidienne. Je m'étais jurée de ne jamais être comme ça et je me parle fort pour y arriver, croyez-moi!

On revient à la maison en voiture, je détache la Lionne de son siège: "Maman, dans tes bras". Faut que je me parle! Elle aura bientôt 3 ans, à son âge, grand garçon avait un frère et une sœur plus jeunes,  ça faisait un bon bout qu'il avait oublié que les bras de maman peuvent substituer ses deux pattes! Je pourrais citer plein d'exemples de ce genre. Quelques fois, j'essaie de me consoler justifier, à me disant qu'avec quatre enfants arrivés en quatre ans et demi, c'est les plus vieux qui ont été poussés à l'autonomie tôt plutôt que la Lionne qui est traitée en bébé. Inquiétez-vous pas, je sais que j'ai tord. 

Il y a deux semaines c'était l'inscription pour sensa(genre de pré-maternelle, qui fonctionne selon 2 niveaux en fonction des groupes d'âges) en janvier. En renouvelant l'inscription de Poulette, j'ai mentionner à l'enseignante en charge que si une place se libérait dans un groupe 3 ans, de nous en informer. Bonheur( ou malheur, je sais pas trop) elle m'a informé en début de semaine que c'était le cas. Ma première réponse "ok, on en parle et je te confirme ça d'ici la semaine prochaine, je sais pas si elle est vraiment rendue là". Je ne me suis pas laissée aller trop longtemps, 10 secondes plus tard je me suis reprise: "non, non. S'il y a une place, on la prend. La vérité c'est que c'est moi qui n'est pas rendue là. Elle est certainement pas pire que les 3 autres à cet âge!". Parole sur laquelle elle a éclaté de rire pour me répondre: "c'est toujours plus dur avec les petits derniers! Je suis passée par là!"

Ce n'est pas facile de l'admettre mais le syndrome de l'éternel bébé me guette de près. Je fais tout ce que je peux pour me traiter... Et j'évite de penser que l'an prochain, j'aurai déjà deux demi-journées où je serai seule avec moi-même. Pas que je j'ai peur de ne pas savoir m'occuper mais hier j'avais quatre bébés ici avec moi!

Ça sévit aussi chez vous?

mercredi 20 novembre 2013

100 Vues sur l'automne - 66 & 67 -

-66-
Jouer dehors
 
-67-
Douche
 


Recevoir en simplicité

Mine de rien, lentement, on commence à penser aux temps des fêtes. À s'organiser.
 
Ici, on adore recevoir des invités et remplir la maison. J'adore aussi cuisiner. Mais je déteste passer la soirée à la cuisine plutôt qu'avec les invités. J'essaie donc de choisir mes menus en fonction du nombres d'invités et de pouvoir aussi profiter de la soirée.
 
Un des classiques du temps de fêtes chez nous, c'est la choucroute. C'est le mets parfait pour recevoir plusieurs personnes sans passer la journée à cuisiner et pour passer la soirée avec eux. Chaque année, on invite une grosse gang et on se fait une délicieuse choucroute.
 
La recette est très approximative. On compte habituellement 3-4 saucisses Européennes par invité. On évite les saucisses de supermarché, on se trouve un bon saucissier et on essaie! Idéalement, juste assez de variété pour que les invités puissent essayer plusieurs sortes et que ça suscite les discussions. Mon expérience m'a apprise qu'avec trop de variétés, les convives sont déçus de ne pouvoir goûter ce qui se retrouve dans l'assiette du voisin!
 
Je fais griller légèrement les saucisses sur le BBQ (oui, même en hiver) environ 6 ou7 heures avant le repas. Je les coupe en 2, et les dépose dans un grand chaudron avec le chou. (Ici, on a la chance de trouver de la Choucroute Tapp. Produit à Ste-Anne-Des-Monts, elle est macérée au sel de mer. C'est vraiment délicieux!). Je calcule environ une tasse de choucroute par personne. J'ajoute quelques patates pelées et coupées en gros morceaux, quelques clous de girofle et je remplis le chaudron de bière afin de recouvrir le tout.(Ici, on a un faible pour la bière allemande, ça se trouve facilement à la SAQ). On porte à ébullition et diminue à feu doux. Il faut s'assurer que ça mijote en tout temps. On doit également aller vérifier régulièrement(une fois par heure) que le niveau de bière ne diminue pas trop. On en ajoute au besoin. On laisse mijoter comme ça environ 6 heures.(au minimum 5 heure et demie). Quand c'est prêt, on dépose dans de grands plats de service au milieu de la table et les gens se servent. On l'accompagne avec de la bière ou un classique Gewürztraminer. Il  n'y a pas de meilleur vin pour aller avec une choucroute.
 
La choucroute est un mets qui s'apprivoise. Les enfants sont quelques fois réticents les premières fois mais en leur servant que des saucisses et des patates, ont s'en sort parfaitement. Il faut simplement le prévoir en planifiant les quantités de saucisses nécessaires.
 
Si vous avez envie de pousser l'expérience choucroute un peu plus loin, vous pouvez aussi l'ajouter au dessert. Bien que ça semble un peu étrange, c'est vraiment excellent. Partez de votre recette de gâteau au chocolat préféré(celui-ci par exemple  ou celui de Ricardo dans le livre La chimie des desserts). Une fois le mélange à gâteau prêt avant de le déposer dans le moule, on passe une tasse et demie de choucroute sous l'eau à l'aide d'un tamis. Il faut s'assurer que ce soit très bien égoutté. On ajoute la choucroute au mélange et dépose le tout dans le moule, simplement. Garnir le gâteau d'un glaçage au chocolat.  C'est exquis! Osez l'expérience, vous ne le regretterez pas.
 
Le parfait souper des fêtes; convivial et simple!
 
« Divulgation : je fais partie d’un programme Vivre délicieusement pour les blogueuses et, à ce titre, j’en retire quelques avantages. Les opinions émises sont les miennes. »

mardi 19 novembre 2013

Je deteste le latte froid

Quand on décide d'avoir des enfants, on se renseigne le plus possible. Force est d'admettre qu'on a beau se renseigner sur un tas de choses, il y a toujours des avertissements qui ne sont pas donnés nul part!
 
J'avais certes lu que le premier trimestre était quelques fois accompagné de nausées. Par contre, je n'ai lu nul part que j'étais pour vomir à chaque demi-heure de la journée, que je finirais par manger à temps plein parce que ça fait moins mal quand on a quelque chose dans le ventre et que ça durerait quarante semaines. Fois quatre.
 
J'avais lu qu'on risquait d'avoir des pertes urinaires. Mais je n'ai vu nul part l'effet qu'aurait mon rapprochement avec la toilette sur ces pertes. Bleh!
 
On nous dit que les bébés ne font pas leurs nuits(et encore, selon plusieurs lectures on pourrait s'attendre à dormir le premier mois passé. Hum, hum...) mais rarement que la femme enceinte à tendance à ne plus le faire au fur et à mesure que la grossesse avance.
 
Une autre surprise que j'ai eu avec les grossesses, c'est la sensibilité dentaire. Je n'avais vraiment jamais connu ça avant. Enceinte de grand garçon, je me suis rendue compte qu'il était possible d'éprouver des sensations aux dents. C'est parti comme c'est venu une fois grand garçon dans les bras. C'est revenu pendant la grossesse du tannant. Cette fois, c'est passé de sensations à sensations désagréables. Et c'est repartie. Enceinte de Poulette, la douleur s'est repointé mais cette fois là assez pour changer de dentifrice et en parler au dentiste. La surprise, ce n'est pas reparti. Cela s'est atténué mais c'est resté. Quand la Lionne était à l'usine ça a repris de l'ampleur et c'est resté. Tout à fait resté...non. En fait, c'est par vague. Des bouts de temps ça s'endure bien, d'autres c'est plus déplaisant. C'est assez présent pour que j'utilise un dentifrice conçu pour combattre la chose à temps plein. 
 
Quand on m'a proposé de participer à la campagne pour blogueuse de Colgate Sensitive Pro-Relief j'ai tout de suite accepté. Dans les périodes où c'est plus douloureux, j'ai tendance à partir à la recherche du produit le plus efficace. Donc, j'essaie pas mal tous les produits à un moment ou un autre.
 
Le campagne tombe à point puisque depuis quelques temps, c'est pire. J'ai l'habitude de prendre mon latte le matin, en lisant le journal. Depuis quelques semaines, je le terminait non tiède mais vraiment froid. Le pot de crème glacé au congélateur depuis quelques semaines indique bien la présence du problème lui aussi! (mon plaisir coupable de fin de soirée, un bol de crème glacé vanille avec un espresso coulé dessus. Miam!). C'est le moment parfait de relever le défi pour moi!
 
Et je vous avoue que si j'avais trouvé LE dentifrice qui règle mon problème à long terme, j'en serais très heureuse. J'ai délaissé ma marque habituelle pour Colgate Sensitive Pro-Relief il y a maintenant 5 jours. Comme il est conçu pour couvrir et réparer les dents sensibles à long terme(en l'utilisant régulièrement, bien sûr!) j'ai espoir. Je dois dire que dans les cinq derniers jours, la "crise" qui empirait sans cesse dans les deux dernières semaines s'est calmée pas mal. Plutôt que d'agir au niveau du nerf de la dent par l'action du nitrate de potassium, Colgate Sensitive Pro-Relief bouche et scelle les tubules dentaires ce qui à long terme créerait un bouclier contre la sensitivité. La dentisterie, c'est pas du tout mon domaine mais pour l'instant mes dents se portent mieux donc j'aime!
 
Vous souffrez du même problème que moi? Vous avez envie de relever vous aussi le défi? Allez vous inscrire sur le site de Colgate Sensitive Pro-Relief pour obtenir un échantillon du dentifrice et 1$ de rabais à l'achat de votre prochain tube.(un seul par ménage). On suggère de masser les dents sensibles directement avec le dentifrice pendant une minute et d'essayer de consommer un aliment habituellement problématique. Je peux vous dire que j'ai terminé mes latte chauds ces trois derniers jours! J'ai aussi savourer le fait de les boire sans sensations désagréables. Un petit moment de bonheur.  De plus, en allant par la suite évaluer en ligne le produit, vous courrez la chance de gagner une cafetière Nespresso® U-Pure orange et un panier-cadeau contenant des produits Colgate Sensitive Pro-Relief pour toute une année.
 
Ce soir, je m'attaque à la crème glacée!
 
« Divulgation : Je participe à la campagne des blogueuses pour Colgate Sensitive Pro-Relief organisée par Mom Central Canada et j’en retire quelques avantages. Les opinions exprimées sur ce blogue sont les miennes. »
 
 

lundi 18 novembre 2013

100 Vues sur l'automne -65-

-65-
Spinning version enfant


100 Vues sur l'automne -64-

-64-
ooooooaaaaaaah!


100 Vues sur l'automne -63-

-63-
Route

Dossier commotion...encore

Ce matin, je récidive et jase encore des commotions cérébrales dans le sport. Il y avait dans LaPresse+  un super dossier ce matin.
 
Dossier qui rappelle l'urgence d'agir. Si quelques sports semblent vouloir se prendre en mains, d'autres sont vraiment dans le déni. Et même chez les sports qui veulent se prendre en main, je me questionne. Les fédérations pondent de biens beaux programmes, de magnifiques documents de références, ils mettent le tout en lien sur leurs sites web ou envoie les bons de commandes dans les clubs quand ils les lancent, mais après? Quel est l'impact auprès des clubs? Des entraîneurs? Des parents? Les athlètes sont-ils vraiment (mieux) pris en mains? Ce n'est certainement pas pire que c'était, le fait que ces programmes existent est un pas vers l'avant, je ne peux pas le nier mais le pas est gêné et minuscule. Le sport est un magnifique moteur de développement global pour tout être humain mais il faudrait sérieusement conscientiser les acteurs qui y prennent part.  
 
De voir des Gary Bettman minimiser les conséquences et ce qui se passe dans sa ligue, de voir même les joueurs dirent que les bagarres sont essentielles, c'est impensable. Non seulement il est question de l'état de santé des joueurs mais ils sont aussi le modèle pour des milliers de jeunes; si les pros n'ont pas en s'en soucier, pourquoi eux le feraient? Entendre des parents de jeunes adolescents dirent que "ça fait partie de la game", ça me tord les tripes. Ça fait peut-être effectivement partie de la game pour l'instant mais c'est une situation inacceptable. Jamais la rupture de l'intégrité physique et mentale des enfants devraient être acceptée. Les parents devraient être les premiers à dénoncer la situation.
 
Les statistiques sur les commotions cérébrales font peur. Ce serait 90% des jeunes qui cachent leurs symptômes. J'ai vu des jeunes se pratiquer à n'avoir aucune réaction sur les mouvements douloureux devant un miroir, avant un rendez-vous chez le médecin pour que le retour au jeu soit autorisé. J'en ai vu ne pas dire qu'ils se sont disloqué l'épaule pendant un match pour ne pas manquer le prochain. Quand c'est une blessure qui ne se voit pas, j'ose pas imaginer à quel point ça doit bien se cacher. Un coup au corps au football peut être de 150G! Une force rotationnelle  de 2000 degrés à la seconde! (C'est quand même une tête qui fait plus de 5 tours en une seconde). Tout ça, c'est le cerveau qui l'encaisse.
 
C'est difficile de ne pas parler de Georges St-Pierre en abordant les commotions cérébrales aujourd'hui. D'emblée, j'avoue que j'ai énormément de difficultés à comprendre l'intérêt que les combats ultimes suscite. Oui, GSP est un athlète hors du commun. C'est indéniable. Mais ce sport... Je ne vois pas où sont les valeurs sportives et l'éthique dans un sport où le seul objectif est de détruire l'autre. Je ne comprends pas le plaisir de regarder quelqu'un se faire rentrer dedans à ce point. Quand je jette un œil, la seule chose que je vois c'est les blessures et les conséquences à long terme.  Les commentaires des amateurs me choquent profondément. Je cherche le respect de l'être humain et je ne le trouve pas. J'irais même jusqu'à dire que je ne comprends pas que ce gars-là pratique ce sport. Malheureusement, il est passé d'être humain à outil marketing. Et il y a visiblement consenti. Quand Dana White, président de la UFC, déclare que GSP ne peut pas se retirer, que ça ne marche pas comme ça. Clairement, il perd sa vache à lait et cela l'enrage. Il se fou éperdument, de l'être humain derrière. Pourtant GSP démontre des signes évidents de commotions multiples. Le reste de sa vie sera quoi? Oui, il a de l'argent mais son avenir sera comment, dans quel état va-t-il finir ses jours? Il n'y a rien pour justifier ça, selon moi.  C'est un gros problème quand de Bettman et White pensent à remplir leurs poches sans considération pour les personnes que sont les athlètes qui travaillent pour leurs organisations. Malheureusement, leurs produits, ce ne sont pas des chaises ou des boites de crayons. Les intérêts  des athlètes devraient être à l'avant plan plutôt que cachés sous le tapis.
 
Aujourd'hui, je vais aller me procurer le volume de Dave Ellemberg, Les commotions cérébrales dans le sport-Une épidémie silencieuse, paru récemment. J'ai très hâte de le lire. Sans aucun doute, je vous reviendrai sur mes lectures. Ce soir, je vais discuter avec mes comparses de la mise sur pied d'un plan de prévention et de retour au sport lié aux commotions cérébrales pour notre club, ça aussi j'ai bien l'intention de vous en reparler, quand le projet sera plus élaboré. 

vendredi 15 novembre 2013

Service à la clientèle

J'aime pas ben gros le magasinage, c'est un fait. 

Mardi, Z a accidentellement brisé un clip sur sa bottine de patin. Aujourd'hui, la mission que je m'étais donnée, c'était de trouver un clip neuf. 

Quelques fois, il y a un espèce de monde parallèle dans ma tête, quand j'entre en contact avec les autres. Tout ce qui se passe par la tête et que j'ai appris à taire.(certaines fois moins que d'autres mais je m'améliore vraiment beaucoup avec l'âge.) 
Ge entre donc dans la boutique du seul ex-fabricant Québécois de bottine.

Gentille étudiante au comptoir:"bonjour! Je peux vous aider?"
Moi: "bonjour! Je cherche un clip comme celui-ci, vous en avez en main?"
GEAC: "sûrement. (Elle cherche un peu) je m'informe à ma gérante. Mais on devrait en avoir"

Gérante qui arrive:"sur une bottine de patin, c'est bizarre on a jamais fait ça nous"
Moi: " ha, ben là je vous informe que j'en ai pourtant acheté une paire."
Dans ma tête: (Hum... Sur votre site internet pas à jour, il y en a encore)
Gérante: "vous en avez vraiment besoin?"
Moi:"oui"
DMT (non. Mais c'est mon passe-temps préféré. Je parcours le Quebec à la recherche de clips qui vont sur des bottines de patins qui ne se produisent plus)
Gérante:"vous voulez vraiment que je vous en cherche un?"
Moi:"oui"
Elle; hyper mega soupir. 
(Oui, j'en veux un cr*ss* de clip. J'ai acheté des bottines que vous détailliez 400$, mon fils les a mises 3 mois et le clip a cassé. Fait que oui, je veux que tu me trouve un clip pour qu'il puisse attacher ses bottines)

Gérante après son appel:"là madame, je vais être obligée d'aller le chercher à l'usine votre clip" d'un ton frustré. 
Moi: "ok"
(Quesse tu veux que ça me fasse? L'usine elle est à 50 pieds de la porte à côté de toi. Juste le temps que ça a pris pour faire tout tes soupirs depuis que je suis ici, tu serais allée 3 fois aller-retour)

Finalement, pendant que je regardais autre chose, gentille étudiante est venue me dire qu'elle avait mon clip, qu'il est exactement comme l'autre et qu'elle est heureuse d'avoir pu m'aider. 
Moi: merci vraiment beaucoup.
(Au moins, y'a une personne ici qui a compris sa job et elle est sympathique en prime)

Sérieusement, gérante dans une boutique, le service à la clientèle, c'est ta job. Forces-toi un peu. C'est une expérience très décevante, d'autant plus que c'est un fabricant québécois, dans le meilleur des mondes, j'aimerais ça avoir envie de l'encourager. 

Et juste avant, on était passé chez Apogee Sports. La dame sur place était extrêmement sympathique. Un super service. On y retournera(ou/et on saura quoi commander)...

jeudi 14 novembre 2013

100 Vues sur l'automne -61-

-61-
Vouloir être grande avant son tour


100 Vues sur l'automne -60-

-60-
Fusion


Confession je me moi

Je vais rester dans mon "je, me, moi" d'hier et vous faire une confession qui ne concerne que moi aujourd'hui.
 
C'est assez clair, je crois, j'adore la photo. Mon frère m'a introduit à ce bonheur j'étais encore jeune. J'ai appris les joies de la chambre noire dans celle qu'il avait "patentée"  sous l'escalier du sous-sol de la maison de ma mère, je n'avais pas encore 12 ans. J'ai passé pas mal de temps de celle de a polyvalente, remise sur pied par quelques copines et moi.(ben oui, il n'y avait pas de gars de ce club de photos???)
 
Quand j'ai décidé où me diriger au cegep, le programme de photo à Matane me tentait pas mal mais j'avais en tête l'idée de "bien gagner ma vie". (oui, je sais: j'ai abouti en activités physiques à l'université, pas diable mieux, hein!?")
 
Depuis un certain temps, comprendre plusieurs années, je rêvasse de me lancer, comme photographe lifestyle. De façon sporadique, des gens me demandent si j'accepterais de faire des sessions avec eux, chose que j'accepte toujours.
 
Ma confession, c'est mon intention de me lancer, à court-moyen terme. Je ne rêve pas d'en faire un occupation à temps plein mais plutôt de pousser l'aventure et le défi un peu plus loin. Pourquoi je m'en confesse? Parce que ça fait des années que je me dis qu'éventuellement je le ferai. Et je le fais pas. En parler ici, c'est un peu me mettre l'obligation de faire aboutir le projet, maintenant que pas mal de gens seront au courant...
 


mercredi 13 novembre 2013

100 Vues sur l'automne -59-

-59-
Nouvelle meilleure place pour relaxer

Un peu de moi

Un peu de moi. Un peu de moi parce qu'aujourd'hui, je tourne autour de moi. C'est assez rare ici. Habituellement, je tourne autour de ma meute, mes photos, du sport mais pas de moi.
 
J'étais un peu moins ici dernièrement.
 
Je travaillais fort, avec une fabuleuse équipe, afin d'organiser une fin de semaine de compétition. Ça a souvent l'air de pas grand chose de l'extérieur les évènements sportifs mais quand on est déjà passé par là, on sait.
 
On sait que pendant le parcours, on a envie tellement de fois de laisser tomber. On pense à ceux qui nous accompagne (si bien), on retrousse nos manches et on repart. On se promet que c'est la dernière fois. On se demande pourquoi on se retrouve encore là, en pensant à toutes les fois où on s'est promis de ne plus jamais recommencer. Et on se jure que cette fois, c'est la dernière. On se dit que, on a compris, qu'on ne se fera plus jamais reprendre. Puis, on arrive à la fin. On est fébrile. Ça part.(enfin). On est brûlé raide, c'est à peine terminé qu'on a envie de recommencer. On sait bien trop, que malgré les (fausses) promesses, on va le refaire. Qu'au fond, on carbure un peu (pas mal) à ça. Qu'au fond, le feeling, c'est un peu le même que quand on est sur la ligne de départ...
 
Au fond, l'habitude de s'impliquer remonte souvent à loin. J'étais déjà comme ça au primaire. Ça ne m'a jamais quitté. Être spectateur, je n'ai pas ça dans le sang. J'ai besoin d'être dans l'action. Et les gens dans l'action, je pense qu'ils le sont toute leur vie.
 
On est dans le après. Lundi matin, un tapis blanc nous attendait dehors. Je l'ai pris un peu personnel. C'est comme si la vie me disait "Good job Ge. Vous avez travaillés forts, ça bien été, je te gâte un peu et j'installe l'hiver doucement". Bref, un retour en douceur dans notre routine. Un matin apaisant. J'étais heureuse et les enfants aussi.
 
Tout ça pour dire que depuis une semaine, j'ai très envie d'écrire ici mais je cherche les mots. Plutôt le sujet. Je regarde l'écran blanc puis clique sur le X parce qu'en bout de ligne, je ne trouve pas quoi dire. Pourtant, ça me tente tant de poser mes  mots ici. Mais je les trouve pas. Ou les évite, je sais pas. J'ai décidé d'écrire ce qui me tourne en tête chaque fois que je regarde l'écran blanc. En me disant qu'une fois que je l'aurai rempli, les mots y seront à nouveau.
 
On a aussi terminé le soccer la semaine dernière. J'en ai même pas parlé ici mais on était somme toute contents. J'ai apprécié parce que  mon tannant à voulu s'inscrire mais surtout parce qu'il a participé, il s'est mêlé au groupe sans problème.  Cet automne, mon tannant est passé par dessus sa gêne. Le soccer à aidé. Juste pour ça, ça valait le coup. Grand garçon lui, avait hâte que ça finisse. Il adore le soccer, mais a clairement avouer détester jouer au soccer en manteau d'hiver et en tuque. Le soccer, c'est en culotte courte pour lui. Et franchement, à  7 ans, je trouve que c'est bien de ne pas pratiquer un sport à l'année longue, de pouvoir varier. Bien mentalement, mais bien au niveau du développement moteur aussi. Dommage que les clubs et associations voient souvent ça autrement.
 
Ben voilà, cette semaine, on s'est reposés, on a retrouvé notre petite routine tranquille. Là je prends le temps de vous retrouver et demain je serai ici pour me confesser! ;)
 
 

dimanche 10 novembre 2013

100 Vues sur l'Automne 55, 56 et 57

-55-
P'tit clown
 
 
-56-
Compé provinciale.
Le fruit "d'un peu" de travail
Émile
 
 
-57-
Claudia
 
 
 


jeudi 7 novembre 2013

Les (damnés) salons du livre

Chaque année, le salon du livre est très attendu chez nous.
 
Souvent, j'essaie d'y aller deux fois. Une avec les enfants et une prise deux, pour moi toute seule, à regarder des livres d'adultes. à prendre le temps de vraiment tout regarder ce que j'ai envie de regarder. Cette année, le week-end à venir est hyper chargé. La seule ouverture possible c'était aujourd'hui à la fin des classes.
 
(C'est un méchant bon moment pour y aller finalement. Je n'irais pas jusqu'à dire que c'est mort, mais c'est plus tranquille. Avec quatre enfants, c'est agréable de pouvoir les laisser se promener et magasiner eux aussi, l'esprit en paix. J'imagine que c'est aussi agréable pour eux de ne pas recevoir un coup de sacoche en pleine face au 2 minutes.)
 
Je n'y retournerai pas pour moi cette fois. Ok, confession 1: je suis méga poche dans le "pour moi". Chaque fois que je pars magasiner pour moi, je finis par magasiner pas mal plus pour la meute que pour moi. Bon, je reviens et j'ai encore "besoin de ce quelque chose", c'est vrai. (parce que je vais rarement magasiner pour moi si je n'ai besoin de rien. Un autre chromosome féminin que je n'ai pas eu; j'aime pas le magasinage. Sauf dans les boutiques de sports ou les librairies.) Mais, vraisemblablement, j'ai beaucoup plus de plaisir à magasiner pour ma progéniture que pour moi.
 
Avant d'aller dans un salon du livre, je me fais toujours un budget.(hahaha!). Ma vraie confession: Je suis incapable de m'en tenir à mon budget prédéfini dans une librairie alors dans un salon du livre... Je me demande pourquoi je m'en fais un chaque année. Probablement une question de bonne conscience du genre "au moins, j'avais de bonnes intentions."

100 Vues sur l'automne -54-

-54-
Petite dormeuse


dimanche 3 novembre 2013

100 Vues sur l'automne -50-

 
-50-
Départ

La mi-parcours. Déjà. Honnêtement, cet automne, je manque de temps. Je suis très loin de prendre autant de photos que je le voudrais. Je voulais mettre un accent sur la quotidienneté, j'ai quelques fois l'impression de ne pas y arriver. J'ai quelques fois l'impression de me répéter. Cette mi-parcours me frappe au visage, le temps passe si vite.
Et oui, encore du patinage de vitesse. J'ai le sentiment d'y revenir souvent. Notre quotidien nous y porte pas mal souvent aussi.
J'aime toujours autant le défi de produire une photo par jour, même si le temps manque pour atteindre ce que j'espérais. Peut-être que le recul aidera. Peut-être pas. Je disais la semaine dernière que Novembre apportera le calme, j'imagine que je trouverai ce temps qui me manque maintenant...
 

samedi 2 novembre 2013

100 Vues sur l'automne -49-

-49-
Onondaga

100 Vues sur l'automne -48-

-48-
Effort

Où est l'intérêt des joueurs?

Comme on a l'habitude de dire jamais deux sans trois, je vous écris un troisième billet qui tourne autour du sports en peu de temps. Un de mes sujets préférés en plus; le hockey et sa violence.
 
Le 10 octobre dernier, Patrick Kaleta a porter un coup à la tête de Jack Johnson du Blue Jackets. Un coup de salaud. Un coup gratuit qui ne changeait pas grand chose au jeu. Un coup comme j'espère ne pas en voir au hockey. Un genre de coup dont Kaleta à visiblement l'habitude puisqu'il a été suspendu six fois dans les quatre dernières saisons. Quand on sait à quel point la LNH est froide à l'idée de punir ce genre de coup, on se dit qu'il doit en donner pas mal. On aime mieux ne pas penser au nombre qu'il en a donné sans recevoir de suspension.
 
Selon plusieurs médias, la ligue a répondu sévèrement.  Sévère? Vraiment? Ce n'est pas mon point de vue mais si on considère la gestion de cette ligue, oui probablement. C'est décevant. C'est décevant venant de la ligue. Mais quand la NHLPA, l'association des joueurs de la ligue nationale, celle-là même qui a pour mission de défendre l'intérêt des joueurs, porte cette décision en appel, j'avoue; je suis un peu sur le cul.
 
L'association préfère penser à l'intérêt financier d'un gars qui distribue les coups sales de façon répétées depuis des années que de penser à la santé, la sécurité et l'intégrité de ses joueurs? La LNH compte 690 joueurs actifs. 1500 sont affiliés à une équipe. Les 688 joueurs qui  n'ont ni reçu ni donné ce coup, vous êtes où? Vous préférez vraiment que l'association qui vous représente pense à l'argent que vous risque de perdre si vous passez outre les règlements pour donner un coup gratuit plutôt que de défendre votre santé, votre sécurité, d'assurez les chances que vous avez de jouer plus longtemps, d'assurez les chances d'avoir une tête fonctionnelle pour continuer à vivre après la carrière(plutôt que vous contentez d'exister)???
 
Je suis toujours la première à dire que c'est totalement faux de prétende que les gars de hockey sont plus cons que les autres. Mais là... Réveillez-vous un peu les gars...Come on!
 
Les joueurs de hockey de LNH pratique leur sport dans un ligue qui les traite comme des animaux de cirque. Si eux-mêmes ne sont pas capables de dire que leur intégrité physique mérite d'être défendue qui le fera? Comment penser que la ligue bougera un jour? Je rêve de voir au hockey ce qui est arrivé au football.
 
Quand un chroniqueur ose dénoncer la violence dans ce sport, les commentaires en bas de l'article me donne généralement envie de pleurer. L'amateur moyen de hockey semble aussi évolué que l'homme de Cro-Magnon. Oui, le hockey est un sport de contact, contact et violence, ce n'est pas la même chose. Le jeu peut parfaitement être robuste, sans être débordant de violence, trop souvent gratuite. Et c'est tout à fait faux que le hockey sans violence, c'est plate. C'est beaucoup plus intéressant. Cela permet d'apprécier les qualités athlétiques et les habiletés de ces athlètes. Parce que ça demande vraiment un athlète complet pour faire un bon joueur de hockey, la grande majorité d'entre eux sont des athlètes remarquables. J'aime bien les olympiques, qui donne l'occasion de voir du hockey propre. Et dites donc, qui n'a pas lever les bras quand Sid à compter à Vancouver?
 
 
 

vendredi 1 novembre 2013

100 Vues sur l'automne -47-

-47-
Halloween

Novembre

On est en novembre. J'ai envie de dire "déjà!" et "enfin!" à la fois. Je ne sais pas si c'est mon toujours envie de ne pas suivre la masse mais j'adore novembre. Je suis toujours heureuse de le voir arriver.

Demain, on va changer l'heure. J'aime ça. J'aime voir la noirceur arrivée en même temps que les gars de l'école. Je dois être pas mal la seule, je sais bien mais j'aime ça. J'aime profiter de ce mois gris et frais, bien emmitouflée dans mes vêtements d'hiver fraîchement sortis. J'aime ses prometteurs premiers flocons, j'aime l'espoir de les voir s'accrocher au gazon. 

J'aime les journées dehors suivies d'un feu de foyer et d'un verre de vin chaud. (Ou d'une bière). J'aime aller virer à la montagne juste pour voir si elle blanchit. 

J'aime aussi attendre qu'il se termine pour mettre définitivement l'ambiance de Noël dans la maison.

J'aime novembre parce que cette année, il est la promesse d'un peu plus de calme dans nos vies. Il est l'aboutissement de certains projets, ce qui immanquablement veut dire la naissance de nouveaux. 

Je skis beaucoup moins qu'avant, mais novembre traîne avec lui ce doux souvenir de soirées à bichonner nos planches, de l'odeur de la cire qui fond.

Ce mois, il m'apporte cet apaisement au fond du ventre qui nous fait sourire bêtement et apprécier la vie.

Et je l'avoue, les moustaches qui poussent partout ça me fait sourire....mais les gars faites-moi plaisir, oubliez pas qu'il y a une cause derrière ces moustaches.

Bon novembre!